Anales de Thomas
Anales de ThomasElle ne lui mit pas un doigt, n’assouplit pas l’anus. Elle trempa la tige de l’aneros dans un pot de lubrifiant siliconé comme des nichons de hardeuse. Elle bécota amoureusement son anus, écrasa la pulpe de ses lèvres sur la corolle entrouverte par ses baisers profonds, puis, sans qu’il y prenne garde, enfonça le jouet chantourné dans son rectum sans desceller sa bouche de son anus. Il n’y eut pas de brulure, aucune crispation de gêne. L’objet fut aspiré. Engloutie, sa tête vint se loger contre sa prostate. Cathy positionna la tête ronde sur son périnée. Puis, elle coucha Thomas sur le dos et lui caressa le visage avec douceur. Sa bouche se posa sur ses lèvres. Elle l’embrassa amoureusement, lui souffla son amour au creux de l’oreille.Le gode fut éjecté d’un coup, émettant un bruit de succion terriblement excitant. Cathy allongea Thomas sur le dos. Elle lui écarta les jambes, glissa les siennes de part et d’autre de son torse. L’une se colla à ses vertèbres, souleva ses fesses, les ouvrant au passage de la cuisse. L’autre se nicha près de la queue. A force de contorsions, sa chatte baveuse se ventousa à l’anus épanoui. Elle frotta sa vulve de haut en bas, lèvres ouvertes, cuisses écartelées. Pour accélérer le mouvement, lui donner plus d’allant, elle verrouilla ses mains sur les hanches de Thomas. Ils dansèrent comme güvenilir bahis deux culbutos assurés en rappel par la poigne ferme de la jeune femme. La peau de son sexe et de ses lèvres gonflait, abcès rose spongieux d’une éponge de mer, douloureux d’aspect, boursoufflé, aiguillonné de désir comme par une multitude de piqûres urticantes de méduse. Les mains agrippées au bassin de Thomas, elle déployait une ardeur de rameuse est-allemande sélectionnée pour les J.O. à pousser son con juteux entre les globes de ses fesses. Sa cuisse bronzée et ferme, si douce et si féminine de peau et de galbe, bloquait avec la puissance et la sûreté d’une barre à mine habilement manipulée, ses demi-lunes en position ouverte. Elles béaient comme une bouche d’égout dont la mâchoire de fonte aurait lâché. La mouille abondante de Cathy se mélangeait au lubrifiant, à la salive, aux sécrétions anales et à la sueur. Elle formait une pâte luisante. Sa viscosité onctueuse, dont l’odeur beuglait le sexe à outrance, se déposait en onguent sur les zones d’achoppement de cette machine débridée. La bête à deux dos ruaient des fers, agitait ses membres en tout sens comme les balancelles folles d’un manège lubrique finement huilé. Cathy était à son affaire. La fête battait son plein. Thomas rêvait de croquer ses pommes d’amour à belles dents. De grignoter les mamelons türkçe bahis dont la texture ferme mais caoutchouteuse rappelait celle des oursons Haribo. Ils surnageaient dans un océan de foutre, enveloppés de la mélopée incantatoire d’un rut paillard qui lui faisait perdre les pédales. La baise lui montait au cerveau avec l’incandescence furieuse d’une braise ramonant les naseaux d’un cheval. Il ne s’appartenait plus, rendu à l’état sauvage. Il éructait avec des hennissements de possédé. Enchaîné à Cathy, il répondait à contretemps aux injonctions du corps de son amante, ajoutant des soubresauts sur le chemin cahoteux qui les emportait au diable-vau-vert. Elle lui crachait des mots au visage qui rinçaient sa gorge transformée en cheminée de volcan. Un feu de dragon ravageait ses poumons, asséchant l’air qu’il aspirait à pleine goulée. La pièce suffoquait, la tapisserie gondolait sur les murs, le plafond tel un astéroïde fou plongeait en piquet vers le plancher ; Thomas chancelait, la tête à l’envers, les tripes à l’air tant elles fourmillaient de plaisir grondant. La chambre, cerf-volant écervelé emberlificoté dans des lignes à haute-tension tournoyait vers l’ultime crash. Le lit tanguait bord sur bord. Thomas sentait grossir en lui la supplique d’un achèvement prochain, d’un effondrement ou d’une imlosion. Cathy mugissait en se güvenilir bahis siteleri branlant sur la rosette dilatée. …Au moment où elle hurla, un jet d’urine dru crépita hors de sa vessie pour s’engouffrer dans le cul de son amant. La pisse chaude trépida à l’entrée de l’anus, bouillonna dans le rectum lui gargarisant les intestins. L’écume mousseuse du trop plein grésilla sur la muqueuse grenat. Le jusant s’évanouit sur les fesses brûlantes.. Elle lui dit de serrer le cul. Elle comprima ses fesses de ses avant-bras musculeux, scellant dans son tréfonds cette rivière souterraine en crue. Puis, elle le retourna, genoux et coudes sur le matelas, sa lune pointant vers le soleil. D’une voix espiègle et essoufflée, elle le somma de ne pas bouger. Thomas n’en avait cure, les sphincters verrouillés par des forceps. Orant en quête d’un horizon pieu, son corps s’étirait des reins jusqu’aux bras allongés loin devant lui, mains tendues, doigts effilés, en une posture de piété. Cathy vissa sa bouche à son anus, en détendit les muscles crispés de sa langue saliveuse. Thomas se laissa aller et perdit le contrôle des vannes. La nature fit son œuvre. Son amante lappa le liquide encore chaud d’avoir mariné dans le cul de son amant et s’affala sur son dos. Il sentit les seins se presser sur ses omoplates, le pubis épouser la naissance de ses fesses. Le nectar déborda des lèvres de Cathy, dégoulina sur l’épaule de son amant et s’égoutta sur son menton. Il ne la vit pas sourire, mais éprouva l’ampleur de sa gaieté au délassement de tout son être s’abandonnant sur la barque de son dos.