Comme une salope. Chapitre 1: la première pipe.
Comme une salope. Chapitre 1: la première pipe.C’était enfin en train d’arriver, après tant d’hésitations, tant de nuits à fantasmer devant son ordinateur dans sa petite chambre d’ado à se gaver de porno, des milliers de fois il avait imaginé ce moment et là il y était. Camille était là, à genou, torse nu, le pantalon défait mais toujours sur les cuisses, son boxer couvrant à moitié ses fesses blanches, il tenait dans sa main droite le sexe dur et droit de Lionel. Entre les deux hommes il n’y avait eu que quelques échanges de messages, des conversations chaudes, quelques caméras où l’on s’excitait et puis tout c’était emballé. Camille le jeune puceau avide de sexe et Lionel, le libertin de cinquante ans. Tous les deux dans le salon de l’appartement du quinquagénaire. Le petit puceau tenait pour la première fois une autre queue que la sienne, et il était tout d’abord impressionné par la taille, beaucoup plus importante que la sienne, mais cela ne le gênait nullement ; il était très conscient depuis des années de sa faible virilité et tenir une verge aussi grosse l’excitait énormément mais l’impressionnait tout de même. Un aussi beau sexe, dirigé fièrement droit vers le ciel, parcouru de veines saillantes, couronné d’un gland puissant et rouge. Camille approcha doucement sa bouche, et pris la verge dans sa bouche. Il voulait faire de son mieux, donner le maximum de plaisir à son partenaire, lui montrer qu’il pouvait être une bonne suceuse. Alors il fit tourner sa langue autour du gros gland. Lionel était soulagé, enfin il avait sa queue dans la bouche de ce petit minet qu’il convoitait tant. Avide d’expériences sexuels diverses, bahis firmaları il avait roulé sa bosse un peu partout, entre partouzes, clubs libertins, saunas, bordels tropicaux. Ses affaires florissantes lui permettaient de ne se consacrer qu’à ses deux passions ; le sexe et la photo. Il lui avait fallu quelques jours de travail et la proposition d’une séance photo chez lui pour attirer Camille dans ses filets. Il avait tout de suite senti en ce jeune puceau un fort potentiel, et il ne se trompait jamais. Néanmoins, le libertin expérimenté qu’il était savait pertinemment qu’une si belle occasion était rare et que la chance avait été de son côté. La tête renversée en arrière, confortablement installé dans son canapé en cuir, Lionel se délectait de la fellation que lui prodiguait Camille. Pour une première pipe il se débrouillait pas mal le petit pensa-t-il. De son côté le minet essaya un autre mouvement de bouche plus classique, il se contentait de sucer en descendant le plus possible sur la queue avec des jolies lèvres rosés. C’était difficile vu la bonne taille du membre, et Camille se heurtait à son réflexe nauséeux. « Ce n’est pas grave, continue comme ça c’est bon. »Un compliment. Ça voulait dire qu’il donnait du plaisir, un plaisir rare, et ça l’encourageait à faire encore mieux. Il pris les testicules dans sa main et commença à les masser. Il avait vu cette technique dans plusieurs films pornos, les mecs semblaient adorer. Il ne c’était pas tromper, cette petite intention fit gémir Lionel de plaisir. Il avait sa queue dans une multitude de bouche au cours de sa vie, donc il savait distinguer une bonne pipe kaçak iddaa et là il était forcé de constater que pour une première Camille lui faisait une jolie petite pipe. Il ne mettait pas les dents, sa langue était habile et ses petites mains caressaient bien. « C’est bien, tu suces bien, continue bébé. »Camille n’avait pas pour habitude d’être complimenté, à vrai dire il était du genre très discret ; un jeune homme, aux allures d’ado chétif, limite roux, ne dépassant pas les 1m65, effacé, à la virilité absente. Le petit jeune que personne remarque, dans sa classe au lycée certains de ses camarades avaient réussi à passer l’année sans lui avoir adressé la parole une seule fois. Ce n’était pas par méchanceté, c’était juste que Camille se trouvait hors de tout ça, hors de l’endroit où il se trouvait et hors du moment où il était. En réalité ce qui lui plaisait depuis un bon moment, c’était le sexe. Ce monde magique de plaisir, de fantasmes, de transgression….dans son bled, coincé entre la banlieue et la campagne, les accès à ce monde étaient très réduits pour un jeune aux allures de gamin. Heureusement internet lui fournissait une fenêtre sur le sexe ; du porno en ilimité dont il ne se privait pas de se goinfrer autant qu’il pouvait sur son ordinateur portable cloîtré dans sa chambre. D’abord comme tout le monde il avait débuté par le porno hétéro, « parce que tout le monde fait ça ». En ado surexcité il prenait un grand plaisir à se masturber à la chaîne devant ces salopes qui multiplient pipes, sodomies, gang-bang, creampie, ass-to-mouth, bukkake etc….c’était sans fin. Puis rapidement, il comprit que ce qui l’excitait kaçak bahis vraiment ce n’était pas les actrices elles-mêmes, bien que très belles, mais ce qu’elles faisaient. Plus précisément, comment elles donnaient du plaisir à ces grosses bites gonflées et tendues, comment elles les faisaient cracher leur sperme avec plaisir….Aujourd’hui il a enfin l’occasion de pouvoir faire jouir un homme, de faire cracher une belle bite comme il en rêvait. Encouragé par les râles de plaisir de Lionel, Camille se sentit en confiance et imita les actrices porno qu’il avait tant observé ; il pris la queue dans sa main, tira la langue et tapota le gland dessus. Quelque peu surpris par l’initiative du minet Lionel lui sourit. Puis la langue passa sur ses couilles lisses, fraichement rasées pour l’occasion. Camille les goba une à une, et branlant le gland de Lionel plein de bave….une autre technique qu’il avait mainte et mainte fois vu dans des vidéos porno. « C’est bon ça, tu me fais du bien bébé vas-y. »Tout content de lui le minet continua son combo gobage de couilles et branlette tout en commençant à pousser lui aussi des gémissements de plaisir. « Hahaha tu aimes ça, bébé ? »« Oui….j’aime. »« Ne sois pas timide, tu fais ça très bien. »« Merci. »La belle verge tendue, bien rouge et marbrée de veines saillantes, dégoulinante de liquide séminale et de bave était sur le point de laisser jaillir son nectar. Lionel le savait, il le sentait. Il n’avait pas de eu de rapport depuis maintenant quelques semaines, et la perspective de se faire sucer par un petit puceau avait fait monter la sève en lui. Tant pis, il se contentera d’une pipe pour aujourd’hui, on gardera le plat de résistance pour une prochaine fois pensa le vieux libertin. De son côté Camille s’employait à sucer le sexe de son homme du mieux possible et caressant ses douces couilles et sans le savoir