Dans le Jura, le retour des jets d’y
Dans le Jura, le retour des jets d’yRésumé des chapitres précédentsMarlyse, lâchée avec son fils et son copain dans les confins du Jura suisse, les deux adolescents ayant juste passé leur majorité, ont passé la barrière de l’i****te et ont passé toutes les faces de la baise. Chapitre 3Après une nuit plus calme, les zhéros étant fatigués des exploits de la veille, on plie bagage pour se diriger vers St Cergue, village avec une histoire mouvementée du fait des droits de passage anciens entre la France LLEE de Berne. C’est sur les hauts du village, près du départ des remontées mécaniques qu’ils se décident de monter leur camping. Là, les Anglais ont le malheur de débarquer. Le séjour sera bref, on rentre le lendemain, directement sur Genève. Toute l’équipe se rend au domicile de la mère de Louis où on a la demi-surprise de voir la voiture paternelle. – Tiens quand le chat est loin, les souris dansent, commente Marlyse, on monte toute l’équipe pour faire une petite surprise ?- Dring, dring, fait la sonnette. La mère de Louis vient ouvrir en tenue minimale. – Oh ! Vous êtes de retour, on ne vous attendait pas si tôt, annonce-t-elle. Louis se précipite dans les bras de sa mère et l’embrasse chaleureusement. – Maman, quel plaisir de te revoir, tu m’as manqué, mais ta bouche a une drôle d’odeur, souffle voir une fois. Elle s’exécute et Louis fais une drôle güvenilir bahis de grimace. Cela sent comme une odeur de sperme. – Dis-moi, tu as quelqu’un dans ta chambre ?- Tu es bien curieux, je n’ai pas de comptes à te rendre. – Peut-être à moi, fait Marlyse, c’est Oswald qui vous a parfumé la bouche ? C’est pas grave, je m’en voudrais d’être jalouse. C’est juste pour mettre les choses au point. – Oswald ! Crie-t-elle, tu peux sortir, on a vu ta voiture en bas. Tu comptes rentrer quand ? Je suis avec les enfants. C’est à ce moment-là, qu’Oswald apparaît sur le pas de porte de la chambre à coucher, en slip plutôt en berne. – Désolé, je pensais que tu ne revenais qu’à la fin de la semaine. Tu as eu au moins du plaisir dans tes promenades ? – Pas que dans mes promenades, tu peux bien penser avec deux étalons à mon service, je m’en voudrais d’être jalouse. Louis m’a appris que régulièrement tu m’ornais de belles cornes et de ce fait, je te les ai rendues avec les intérêts, mais encore deux jours, je suis au point mort. Au fait les enfants, qu’est-ce que vous voulez faire ce soir, Jacques, tu veux rentrer avec nous ou rester avec Louis ? – J’aimerai bien rester avec Louis, on a encore des choses à voir pour la rentrée. Je resterai peut-être pour dormir. – Cela te gênerait Oswald de passer un pantalon et une chemise pour rentrer à la maison ? türkçe bahis – Oui, volontiers, tu pourras me raconter toute ton histoire en détail, il y a certainement des détails croustillants. Les deux parents de Jacques partis, Louis et Jacques se retrouvent avec Génie, la mère de Louis. – Alors les enfants, racontez-moi un peu vos vacances. – Maman, je ne suis pas sûr que ce fut vraiment des vacances d’enfants, surtout quand Oswald est parti te rejoindre. – Comment cela ?- Bien oui, je l’ai vu une fois déjà sortir de ta chambre et il n’est pas difficile de deviner quel besoin pressant le poussait. – C’est vrai, on s’est déjà expliqué sur ceci, mais à part cela. – On a décidé avec Marlyse de partir en camping pour visiter la vallée de Joux et se promener sur les crêtes pour rentrer à Genève. – C’était une très bonne idée. Commente – Tu sais Maman avec Jacques, on est très proche et des fois on s’amuse ensemble à se caresser et justement lors de la première nuit, on était en train de se faire du bien quand Marlyse a voulu nous séparer, du coup, à la place de nous séparer, on s’est mis à deux pour la séduire, surtout que je lui ai raconté pour toi et Oswald.Elle a rapidement baissé les bras et nous sa culotte, on a fait vraiment les fous, on s’y est mis à deux, moi devant et Jacques derrière. Elle a joui comme il n’est pas permis, elle a vraiment güvenilir bahis siteleri beaucoup participer. – Mes colinets, vous me faites marcher, mais après. – Le lendemain nous sommes partis à pied jusqu’au col du Marchairuz où on a mangé une fondue délicieuse pour ensuite visiter une glacière naturelle. Tu sais ce que c’est ? – Non, je suppose que cela a faire avec la glace. – Oui, la neige qui tombe pendant l’hiver n’a pas le temps de fondre et reste, se tasse et se transforme en glace, en fait c’est un genre de petit glacier, comme dans les alpes, à la différence près qu’il ne bouge pas de place. – Et après ?- Nous avons rencontré, en allant au Marchairuz, un groupe de jeunes avec deux éducateurs qui allaient passer la nuit dans un chalet d’une association, je pense qu’ils étaient liés avec la religion, car ensuite ils nous ont invité à souper et avant de manger, l’éducateur a fait la prière. Ensuite on a pas pu rentrer, il faisait trop nuit et nous sommes restés pour dormir et là, je n’ose pas te dire ce qui s’est passé. – Mais encore ?- En arrivant pour dormir dans le dortoir des éducateurs, alors qu’on était en petite tenue, ils ont allumé une lampe de poche et nous ont regardé alors qu’on était nu, du reste eux aussi. Marlyse a été fâchée et leurs a dit d’éteindre. Eux sans de démonter nous ont proposé de partager leur nuit en échangiste. On a un peu forcé Marlyse à accepter, vu que l’éducatrice nous faisait un peu gambergé avec Jacques. – Si je comprends bien, vous êtes partis comme des innocents et vous êtes revenus comme des dépravés. – C’est bien à toi de nous fai