En vacances avec Constance.
En vacances avec Constance.Des mois avaient passé depuis les évènements de l’appartement: Constance et moi nous étions réconciliés sur l’oreillier,et cette scolarité s’achevait sous les meilleurs hospices. Avec le chirurgien nous avions passé un pacte; Chacun pouvait la voir du moment que l’on ne se rencontrait pas tous les deux. Et puis les examens arrivèrent et ce furent plusieurs journées de concentration et de stress intense ,mais nous traversâmes les épreuves avec succès.Je remportais même une mention “bien” à l’examen, ce qui m’évitais de me déplacer pour m’inscrire à la fac, Constance quand à elle eut de meilleurs notes encore et une mention “très bien”.Le jour des résultats ,j’allais fêter ça comme il se doit avec quelques camarades, des personnes avec qui je n’aurais plus jamais affaire et pour la plupart d’entre eux ce serait la dernière fois que l’on se verrait. Les résultats de Constance étaient affichés dans une autre section et elle n’était donc pas présente à notre pot de fête.Je finissais la journée chez une fille qui organisait une fête. Il se faisait tard lorsque je sentis le vibreur de mon portable.-Félicitation monsieur le bachelier…Je quittais les trois types avec qui je tentais d’expliquer mes projets post-lyçée en même temps que ce salon envahi de musique, de tabac ou de conversations plus ou moins bruyantes. Je me réfugiais sur une grande terrasse.-Et oui. Les choses canlı bahis ne seront plus comme avant . Je sais pas pour toi mais moi je reste dans la région pour la suite de mes études.-Moi c’est pareil. On pourra continuer à se voir et… à ce propos.. il faudrait que je te vois au plus vite… si possible ce soir!.Le lendemain après-midi j’arrivais comme prévu devant l’appartement de Constance. Elle m’avait bien exposé la situation; le chirurgien nous invitait dans sa résidence secondaire du côté de Cabourg. J’en avais été surpris, bouleversé même après ce qu’il s’était passé mais elle m’avait convaincu ,ainsi j’arrivais avec un gros sac de voyage. Une grosse berline noire allemande attendait devant le porche, en fait il devait s’agir du même véhicule de la dernière fois. Les vitres fumées ne renvoyaient pas autre chose que le reflet des bâtiments alentour, du soleil et des nuages. Lorsque je parvins à hauteur de la voiture une vitre s’abaissa, celle du conducteur. Je reconnu immédiatement le type qui s’était trouvé à mes côtés lors de l’épisode du grand appartement. Son crâne chauve et le visage marqué d’une fine barbe, définitivement je détestais ce type.-Mets tes affaires dans le coffre et entre à l’arrière. Il y a de la route à faire !.La vitre se referma aussitôt. Je m’éxécutais. J’ouvris la portière arrière et je vis Constance… avec le chirurgien. Son regard dur n’avait pas changé, bahis siteleri ses cheveux gominés noirs et longs tirés vers l’arrière non plus. Il portait cette fois une chemise immaculé qu’il portait par dessus son pantalon noir pour l’occasion.-La dernière fois on n’avait pas vraiment eu l’occasion de se connaitre. Nous allons avoir plus de temps, mais mets toi à l’aise…La voiture démarra dans un ronronnement presque sourd. Les immeubles défilèrent, puis les rues, les gens, les piétons ,les cyclistes,les voitures, les camions…-Tu sais ce que j’aime là-bas ?. L’air de la côte. Les gens savent se montrer discrets. La discretion, l’une des rares qualités que j’appréçie chez les humains…Et il se mit à caresser le visage pâle et laiteux de Constance de sa grosse pogne brutale et pleine de veines. C’est à ce moment-là que je me rendis compte qu’elle portait un long manteau de velour sombre avec en guise de sous-vêtement le corset de l’autre fois. Puis ses doigts fouillèrent sa bouche, elle devenait une chatte à la recherche de câlin et qui vibrait de plaisir.-Tu es à moi… VOUS êtes à moi maintenant !. Tous les deux!… vous allez entrer dans mon monde et vous n’en sortirez pas !!!…Sur ce, il roula une grosse galoche à celle dont je partageais souvent le lit depuis des mois. Ses cheveux châtains et ondulés avaient poussés.Elle retira son manteau. J’oubliais complètement le trajet bahis şirketleri de la voiture. Voilà un moment que nous roulions sur l’autoroute. Le magbifique corps sculptural de Constance se tenait à mes côtés, elle embrassait fougueusement celui qui était mon rival. Ils se déshabillèrent. Le corps sec, glabre et musculeux du chirurgien accentuait son physique d’amérindien. Il suça les grosses loches de Constance- un bon 95E- tout en lui pelotant ses fesses larges et généreuses. Nous avions goût pour le même genre de femme. Constance se mit à le sucer. Son membre était veineux, bien dur. Elle le suçait goûlument pendant qu’il lui caressait les cheveux. Les minutes passèrent sans parole, en dehors des gémissements qui ne sortaient pas de l’habitacle. Le chauffeur, le chauve, lui aussi il devait appréçier. Je le voyais jeter de fréquents coups d’oeil sur le rétroviseur. Son regard torve ne perdait pas une miette du spectacle. Petit à petit le chirurgien obligeait Constance à accélérer ses và-et-vient, poussant régulièrement des grognements de bête jusqu’à ce qu’il lui crache dans la bouche, au fond de la gorge. Il lui maintint la tête afin qu’elle engloutisse sa verge jusqu’aux couilles. Puis il la relâcha. Elle ouvrit la bouche pour lui montrer le résultat puis il lui fit signe de me montrer. L’intérieur de sa bouche était recouverte de foutre mélangé à la salive, elle tira la langue pour mieux me montrer.Puis elle avala.-Tu me déteste n’est ce pas ?. Je te donnerai d’autres raisons de me détester.La berline allemande filait sur l’autoroute en direction de la Normandie. Le soleil se couchait tranquillement.