Jeune fille au père
Jeune fille au pèreJe m’appelle Christina. Je suis une étudiante danoise passionnée par la culture française et c’est pour améliorer ma pratique de votre langue que j’ai décidé de répondre il y a deux ans à une annonce trouvée sur internet.Il s’agissait d’un couple d’ingénieurs, parents d’une petite fille de quatre ans, qui disait habiter dans le XVe arrondissement à Paris. C’était une ville que je connaissais déjà et qui me rappelait plein de souvenirs tendres. En tout cas, c’était un merveilleux prétexte pour moi pour y retourner et compléter ma formation en satisfaisant ma passion pour la langue française.Lorsque j’ai frappé à la porte de cet immeuble moderne d’un bon standing du quartier de Vaugirard, je me suis sentie tout de suite en confiance, sans trop savoir pourquoi. Le jeune couple qui m’a accueillie chaleureusement était plus agréable encore que je ne l’avais imaginé. Ils faisaient très cadres dynamiques, à l’aise financièrement mais sans ostentation. Ils m’ont tout de suite invitée à me sentir comme chez moi et il faut dire que malgré ma timidité relative, je me suis assez vite sentie à l’aise. Ils m’ont dit s’appeler Julien et Céline et m’ont très vite présenté le fruit de leur amour, une petite Manon aussi gracieuse et jolie que ses parents.Quand je parle d’amour, je dois avouer que c’est quelque chose qui m’a immédiatement séduite chez eux que de les sentir si proches physiquement, si visiblement amoureux, et me manifestant avec une même énergie leur contentement à me voir compléter leur maisonnée. Tout cela me donnait l’étrange sensation d’une perfection presque gênante, comme si j’étais propulsée là dans une famille idéale et qu’il me serait difficile d’être toujours à la hauteur. Mais, toute la soirée, leur gentillesse me fit oublier cette curieuse impression.Elle était aussi brune que je suis blonde et d’une physionomie assez semblable à la mienne, c’est-à-dire plutôt mince, voire menue mais avec des formes féminines qui, je dois le dire sans fausse pudeur, faisaient de nous de jolis brins de femmes ! Elle avait par contre une prestance qui me manquait. J’étais alors une jeune étudiante reconnue par mes professeurs comme brillante dans l’apprentissage de votre langue, mais en même temps j’étais très étrangère à nombre de vos pratiques. Je me souviens encore combien les affectueuses embrassades de mes nouveaux employeurs me mettaient dans l’embarras, au moins au début. Mais il faut reconnaître que ce que j’ai à vous raconter m’a mis dans un embarras d’une bien autre nature…Pour en revenir à la description de Céline, je dois avouer que j’appréciais beaucoup sa façon de s’habiller à la fois très coquette mais avec une simplicité qui correspondait bien à la fraîcheur qui se dégageait de toute sa personne.Julien par son allure complétait parfaitement cette délicieuse harmonie qu’il partageait avec son épouse. Il était lui-même beau et svelte. Ses cheveux à peine plus clairs avaient de jolis reflets qui s’accordaient à la beauté d’un regard profond à la fois doux et pénétrant.Je dois répéter que j’étais véritablement émue par les regards si visiblement amoureux qu’ils s’échangeaient et par ces discrètes caresses par lesquelles ils témoignaient d’un si fort attachement l’un pour l’autre.Les premières semaines se sont passées dans une harmonie que je pourrais difficilement décrire. Manon avait un caractère facile tout en étant pleine de vie et d’une intelligence aussi prometteuse que celle de ces parents. Le seul problème qui se posait était l’aspect contraignant de leur travail. Sans rentrer dans les détails, les postes à responsabilité qu’ils occupaient tous deux ne leur laissaient pas autant de loisirs qu’ils l’auraient souhaité. Mais cela me laissait finalement pas mal de liberté, et je ne me rendais pas compte que ce « petit problème » allait bientôt en entraîner d’autres qui allaient mettre à mal cette si douce harmonie.Je me souviendrai toujours de ce vendredi après-midi où rentrant à la maison, alors que je n’avais pas ce jour-là à m’occuper de Manon qui était gardée par une de leurs amies. J’étais simplement venue me réfugier dans ma chambre. C’est alors que j’entendis un bruit indéfinissable qui me fit sursauter. J’étais normalement seule à la maison, et ce bruit suspect ne me rassurait pas. J’ai eu, finalement, le courage de me déplacer sans bruit vers le bureau pour y trouver, la tête blottie entre ses bras, Julien dont je ne comprenais pas trop l’attitude. Ce n’est qu’après quelques instants de silence que je réalisai qu’il était en train de pleurer ! Je ne saurais dire combien de temps je restais là à l’observer. Curieusement, je me sentais honteuse d’assister à une scène que j’aurais voulu effacer de ma pensée, mais rapidement je ressentis l’absolue nécessité de faire quelque chose.Je frappai doucement à la porte, ce qui provoqua chez lui un léger sursaut. Il tourna vers moi son beau visage rougit par la détresse et c’est à ce moment que je découvris sur le rebord du bureau un verre renversé et une bouteille de whisky dont j’ai vite compris qu’il venait d’abuser. Ses yeux étaient brillants et je ne savais pas trop si c’était essentiellement sous l’effet des larmes ou de l’alcool. Il était visiblement éméché et ne fit tout d’abord que s’excuser du spectacle peu reluisant qu’il m’offrait soudain.Curieusement, une fois la stupéfaction passée, ce n’est pas l’aspect si déplacé de son attitude dans un cadre par ailleurs si parfait qui envahit mes pensée, mais un sentiment aussi évident que spontané : la pitié. Sans trop réfléchir, je me suis approchée de lui. Son attitude d’abandon et de détresse lui donnait encore davantage d’humanité. J’avais soudain l’impression d’être avec un nouvel enfant dans la maison et bizarrement la raison de son désarroi était passée au second plan.– Je peux vous aider ?Il ne répondit pas, mais dans un geste réflexe et alors que je m’étais approchée de lui qui était resté assis dans son fauteuil, il tendit ses bras vers moi et éclata en sanglot pour finalement me serrer contre lui et blottir son beau visage en larme contre mon ventre. La brutalité et la force de cette étreinte imprévue faillirent me déstabiliser mais curieusement je me suis soudain sentie devenir plus forte.C’est naturellement que je glissai ma main dans ses cheveux, comme je l’aurais fait affectueusement à l’égard d’un a****l perdu. Ses pleurs ne cessaient pas et je commençai même à sentir contre mon ventre la chaleur troublante de ses sanglots. Au bout d’un moment, il releva sa tête vers moi :– Je suis vraiment désolé. Je ne voulais pas te mêler à tout ça. Mais je n’ai plus la force… plus la force de faire semblant !Je ne savais évidemment pas de quoi il voulait parler et j’aurais plutôt voulu à ce moment ne pas le savoir tant cette situation me mettait mal à l’aise, mais sous les effets de l’alcool et d’un silence trop longtemps gardé, il avait envie de parler.– J’ai surpris il y a plus d’une semaine Céline avec un autre homme qui n’est autre que le meilleur ami de son père !J’avais envie de partir et en même temps je savais qu’il fallait que je reste. Ma seule présence était le seul réconfort qu’il pouvait trouver une fois épuisé celui de l’alcool. Et je continuai à le caresser, appréciant moi-même la sensation de ses doux cheveux glissants entre mes doigts.– C’était il y a exactement une semaine alors que tu étais au square avec Manon. Je suis rentré plus tôt que prévu et je pensais que Céline était encore au travail. Je n’ai pas pris de précautions particulières mais ils n’étaient pas en l’état de remarquer ma présence.J’aurais voulu pouvoir l’arrêter mais c’était impossible.– Ma femme était là dans ce même bureau complètement nue, à quatre pattes, en train de se faire baiser par derrière par Michel tout habillé qui avait son calebute et son froc à ses genoux.Un peu surprise par les mots qu’il employait je le fus plus encore par la suite.– Je n’ai pas tardé à comprendre de quoi il s’agissait car leur attitude bestiale ne les empêchait pas de s’exprimer, bien au contraire ! Entre lui qui ne cessait d’éructer entre chaque saillie : « Tu aimes ça te faire enculer par le copain de ton père ! Dis-moi que tu aimes sentir ma bite bien profond dans ton trou du cul ! Ce n’est pas ton petit Julien qui oserait te la mettre ! » Et elle qui lui répondait avec une égale obscénité : « Oh oui, c’est tellement bon ! Continue, continue comme ça et n’ai pas peur de me faire mal ! Vas-y, vas-y encore ! » Et tout ça avec des cris de jouissance qui s’apparentaient à des sanglots…Sa voix était elle-même étranglée de sanglots et ponctuée d’accès de rage dont je ne savais quelle était la principale cible, cet ami-traître de son beau-père ou l’épouse infidèle qui brisait par son attitude un si bel équilibre. Il y eu ensuite à nouveau un silence et je m’aperçus alors que ma main avait glissée insensiblement de ses cheveux vers son visage encore humecté de larmes, poursuivant ses caresses contre son front, ses joues, ses lèvres, comme pour essuyer toutes ses traces de larmes.– Très vite j’ai compris qu’il ne s’agissait pas seulement d’un moment de folie, d’une passade, mais qu’ils se rencontraient régulièrement, sans doute déjà depuis des mois. Ils ont convenu de se retrouver dès le lendemain à l’hôtel « comme d’habitude, parce que dans mon bureau c’était trop dangereux ». Ce que j’ai réalisé de leur principale connivence, car ils n’étaient pas très explicites ce jour-là sur la suite de leurs parties de jambes en l’air, c’était que Michel devait expérimenter avec mon épouse des pratiques bahis firmaları sexuelles qu’elle se sentait incapable d’accomplir avec moi !Je réalisai de mon côté que tout cela, en effet, cadrait assez peu avec l’image si parfaite, bien propre et nette de leur couple apparemment bien épanoui dans une si réconfortante routine.C’est seulement maintenant que je m’aperçus que j’étais restée debout, malgré ce beau monde qui était en train de vaciller autour de moi et que je puisai même dans ces révélations une étrange force, un peu comme ci je trouvai désormais un moyen réel de me rendre utile. C’était complètement irrationnel mais j’avais le sentiment que ce jeune mari en détresse avait besoin de moi !C’est presque comme une évidence, que je me suis agenouillée pour me trouver à sa hauteur. Ce que je faisais avec mes doigts à l’instant, il m’a semblé soudain naturel de le poursuivre avec mes lèvres, avec ma langue. Je me suis mise à effleurer ses joues comme pour l’essuyer par de chastes baisers de tout le chagrin qui était en train de fondre sur lui. Puis j’ai léché doucement ses larmes. Le goût du sel, par le contact de sa peau sur le bout de ma langue, m’offrait comme la saveur de son abandon.En prenant son visage entre mes mains je savais que c’était moi qui, pourtant plus jeune que lui d’une dizaine d’années, que c’était moi seule qui prenais la direction si imprévue et étrange des opérations. Il était là, ne faisant qu’avancer davantage son visage vers mes caresses comme en position d’offrande. Il me faisait don de quelque chose de plus profond en se livrant ainsi à moi, mais cela s’était passé si vite que je me mis à penser aux effets de l’alcool sur son attitude et c’est au moment où ma langue rejoignait la commissure de ses lèvres que je m’écartai soudain de lui. Je ne voulais pas que ce moment soit gâché par les circonstances dues à l’ivresse et j’eus peur alors que mes propres sentiments ne soient pas aussi purs que je l’avais imaginé.Je suis allée chercher une serviette pour finir d’essuyer son visage, mais cette fois peut-être autant pour le débarrasser de ma salive que de ce qu’il lui restait de larmes. Puis je l’ai accompagné jusqu’à sa chambre pour qu’il se repose et retrouve ses esprits avant l’arrivée de sa femme puis de sa fille.Je suis allée moi-même dans ma chambre pour m’y enfermer. C’était moins la peur de le voir franchir cette porte qui me motivait, que celle de me voir moi-même revenir en arrière, tant j’étais tiraillée par des sentiments contradictoires. J’étais parvenue à me raisonner, mais tout mon être avait une envie très forte de le serrer dans mes bras ! Et puis il y avait ce goût enivrant qui emplissait ma bouche de quelque chose qui provenait de lui, si intimement…Par chance, je crois que ce soir-là Céline ne s’est rendue compte de rien, lorsque je lui ai dit que son mari était rentré un peu plus tôt parce qu’il avait mal à la tête et qu’apparemment il s’était endormi. Je lui ai trouvé, pour ma part, un air bizarre. Elle semblait étrangement belle, je veux dire plus belle encore que d’habitude, comme une femme radieuse qui se sent aimée plus que tout. Bien sûr, je n’ai pu m’empêcher de penser à l’origine probable de cet état, comme de celle de ce parfum plus capiteux encore que d’ordinaire qui devait dissimuler sans doute une action inavouable ! Ce qui m’a conforté dans cette impression, c’est l’expression de relatif soulagement qu’elle n’a pas même réussi à feindre. Visiblement cela l’arrangeait de n’avoir pas à jouer un quelconque rôle de composition envers son « cher et tendre époux » !Le lendemain tout semblait rentrer dans l’ordre. Chacun est parti vaquer à ses occupations, ou du moins a fait comme tel et je me suis trouvée essentiellement à m’occuper de l’appartement et de la charmante Manon. Rien, dans l’attitude de mon bel employeur, ne me laissait soupçonner qu’il se souvenait de quoique ce soit de ce qui s’était passé la veille. Tout c’est déroulé les jours suivants de telle façon que j’aurais pu croire avoir vécu tout cela en rêve. Jusqu’à cet autre vendredi.Cette fois j’étais seule dans la maison en train de réviser mes cours. Quand j’entendis sonner à la porte, je savais que c’était lui. J’avais un peu honte mais au fond de moi je ne souhaitais rien d’autre que de retrouver Julien dans le même désarroi et de pouvoir ainsi lui offrir mes services. La nature même de ceux-ci m’était inconnue. Je savais seulement que j’avais envie d’être maternante avec lui comme je l’avais été l’autre jour. Lorsque j’ai vu son regard qui m’a paru encore plus désespéré, je ne savais quelle en était la raison, l’alcool, une quelconque drogue ou simplement la douleur dont je ne doutai pas qu’il allait me faire part. Je constatai qu’il avait sonné alors qu’il avait la clé, mais j’avais déjà imaginé cette scène avant qu’elle ne se produise. Il sembla ne vouloir entrer qu’après s’être assuré que j’étais là. C’était bien ma présence qu’il venait chercher !Sans même dire un mot, il s’est approché et m’a pris dans ses bras. J’étais à la fois comblée et plus embarrassée que l’autre jour sur l’attitude qu’il me faudrait avoir. Il m’a remerciée d’être là quand il en avait besoin et s’est excusé de ne pas m’avoir parlé de ce qui s’était passé depuis l’autre jour. De façon naturelle et c’est cela qui était le plus curieux, il m’a pris la main pour me conduire à son bureau. Je savais qu’il avait des choses importantes à me dire.A peine entrée il m’a fait m’asseoir sur le petit canapé et, après m’avoir apporté un apéritif, est venu s’asseoir en face de moi. La situation était bien différente cette fois puisqu’il était assis sur un siège et qu’il me dominait de sa stature. Je percevais maintenant dans son expression beaucoup plus de mélancolie mais aussi de détermination et je dois avouer que je me suis sentie, brutalement, beaucoup moins sûre de moi.Il a rapidement pris la parole. Nous savions tous les deux finalement que nous étions là pour ça.– J’ai appris beaucoup de choses depuis l’autre jour. J’ai cru que je pouvais dissimuler tout ce qui me bouleversait, que je pouvais l’enfouir en moi. Mais dès le premier soir, le contact physique de Céline ne pouvait plus avoir pour moi la même signification. Il a fallu et cela me sembla difficile, que je fasse semblant, « comme si de rien n’était ». D’ailleurs, ce soir-là, nous avons fait l’amour d’une façon très tendre et j’ai goûté de son superbe corps avec un plaisir qui n’avait pas faibli. Mais comment ne pas penser lorsque j’ai approché mes mains du sillon de ses fesses et qu’elle m’a gentiment repoussé comme à son habitude, au don de cette partie impudique de sa personne à un autre ! J’ai pu tout juste effleurer sa rosette et je croyais sentir sous mon doigt par cette douce chaleur toute la cruauté des étreintes perverses que cet homme, qui venait d’être grand-père, avait infligée à ma femme. Pire encore, alors que j’étais en elle, j’imaginai les pratiques interdites auxquels ils s’étaient livrés. Je me dis que précisément tout cela était possible parce qu’au sein de notre couple elle les aurait trouvés déplacées, honteuses, défendues. La double vie de Céline doit être la conséquence de cette image idéalisée de notre mariage, cette image que nous avons tenté de préserver jusqu’au bout aux yeux des autres !Mais finalement c’est dans les bras de Michel qu’elle parvient vraiment à libérer toute la féminité sensuelle qu’elle me cache ! Un peu comme si elle n’avait rien à perdre avec lui, tant que son secret n’est pas découvert ! Bizarrement, je ne peux pas douter de son amour pour moi et je me dis qu’elle aurait peut-être plus l’impression de me trahir en me demandant de partager ses fantasmes inavouables qu’en les réalisant avec un autre homme ! Elle sait aussi en prenant comme amant un ami de son père, lui-même marié, que ce dernier fera tout pour garder de son côté leur relation secrète…Je l’écoutais qui continuait à me parler, comme fascinée par ses propos étranges. Il cherchait d’évidence, parce qu’il l’aimait par dessus tout, à disculper son épouse. Et en même temps j’avais l’impression que d’un point de vue féminin il n’avait peut-être pas entièrement tort. Je pensais alors à mon ami. C’est perdue dans ces pensées que je me suis rendu compte que Julien était venu s’asseoir à côté de moi, et puis il m’a dit doucement :– Excuse-moi de te parler de tout cela !Il faut dire que depuis que je suis arrivée chez eux, ils me tutoient et m’ont demandé de faire de même si je le souhaitais. Mes origines étrangères expliquent sans doute que cela ne m’a jamais été naturel pour moi.– Vous n’avez pas à vous excuser, je comprends.En fait, je ne savais pas précisément quoi lui dire, ni lui signifier vraiment ce que je comprenais. Je n’avais jamais eu le sentiment d’être trompée jusqu’ici, mais j’avais l’impression trouble pour la première fois, de comprendre le point de vue de celle qui peut tromper ! Ce que je comprenais de lui, c’était toujours cette infinie détresse et le besoin d’être réconforté.Cette fois, contrairement à l’autre jour, c’est moi qui, sans plus réfléchir, ai fait le geste de le rapprocher de moi. Mais dans cette position, il n’avait pas cette fois son visage près de mon ventre mais contre ma poitrine. Sincèrement, même si cela peut paraître incroyable, nous sommes restés dans cette position durant plusieurs minutes et c’était pour moi, et je pense pour lui, en toute innocence.Il était redevenu comme un enfant et c’est comme tel que je le voyais, un tout jeune enfant. Ce que j’ai fait ensuite encore une fois, c’est kaçak iddaa un peu comme si la situation me l’imposait. J’avais envie. Comme je l’aurais fait pour un nourrisson. Au fond, j’étais là aussi pour m’occuper d’une enfant.J’ai tiré un peu sur mon T-shirt vert le haut, et son visage est alors venu se blottir « naturellement » entre mes seins. Le fin tissu de mon soutien-gorge, tout simple, lui permettait de goûter indirectement au relief de ma poitrine. Comme je l’ai dit, mes seins n’étaient peut-être pas très différents de ceux de son épouse, mais j’étais plus jeune qu’elle, puisque je venais tout juste d’avoir vingt ans. Ils étaient assez menus mais bien formés, plus fermes certainement que ceux d’une femme qui a déjà enfanté. À ce moment seulement, j’ai constaté qu’ils étaient aussi un peu plus gonflés que d’habitude…Nous sommes restés ainsi immobiles quelques instants encore. Et puis il y a eu ce bref mouvement de son visage qui vint se blottir plus profondément encore contre moi. Son nez semblait enivré par mon parfum vanillé, d’autant plus que je m’étais douchée juste avant sa venue ! Après, de lui ou moi, je ne sais toujours pas qui a fait le premier geste ! Il a suffi d’un instant pour que mes seins soient nus et pour qu’il se mette à téter l’un deux alors qu’il caressait l’autre du bout des doigts avec une infinie douceur !Brusquement je me suis rendue compte que j’étais emportée vers quelque chose qui me dépassait. Je n’étais déjà plus seulement la nourrisse affectueuse, bien que je n’ai jamais eu de lait, que je me proposais d’être ! Je jouissais avec une telle v******e de ses caresses si tendres. Sa bouche et sa langue ne faisaient que lécher, sucer, tournoyer autour de mon mamelon pendant que l’autre était tout aussi excité par les caresses plus appuyées de sa main. J’avais l’impression que mon être entier était transporté vers une jouissance inconnue. J’étais en train de basculer sous son étreinte de plus en plus insistance et je me suis dit alors qu’il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi ! Et puis il s’est brutalement écarté de mes seins comme s’il avait peur de me dévorer toute crue. J’avais moi-même une si furieuse envie de m’abandonner entièrement à lui ! Mais je percevais en lui cette volonté de rompre le charme.– Je ne veux pas abuser de la situation, vous êtes si jeune et belle !J’eus pourtant l’impression maintenant, qu’inconsciemment c’était moi qui avais abusé de sa détresse. Il eut alors un regard qui me fit presque peur. Il semblait captivé par la vue de mes jeunes seins rougis par son ardente attention. Je ne voulais pas qu’il reprenne une initiative que je perçus trop chaste à l’instant où j’étais moi-même dévorée de désir ! Et c’est pour cela que je me suis mise totalement torse nu ! Il a continué à me regarder et puis m’a adressé au moment où je m’y attendais le moins un regard attendri.Je suis venue à sa demande m’asseoir sur ses genoux. Notre rôle s’était à nouveau inversé. En m’asseyant, ma jupe s’était relevée et je sentais contre mes cuisses en partie dénudées les muscles fermes de ses propres cuisses à travers le tissu du pantalon. Cette sensation me fit fondre doucement. Tout cela était ravivé par la certitude que c’était désormais lui qui avait le pouvoir de me dominer et cette fois par sa seule force physique. Je me mis à penser alors que s’il voulait me violer maintenant, personne n’aurait pu l’empêcher ! Mais je n’avais pas peur…– Qu’est-ce que je peux faire ? Est-ce qu’il y a quelque chose qui vous ferait plaisir ?Il m’a regardé dans les yeux et au bout d’un moment avec une gêne apparente il m’a reparlé de la scène où il avait vu sa femme pour la première fois avec cet homme. Je ne l’ai pas laissé continuer plus longtemps :– Si vous voulez vous pouvez le caresser…Et au cas où il n’aurait pas compris la force de mon assentiment, je fis un mouvement du bassin et fis glisser ma culotte le long de mes jambes. Je me mis à les plier, ce qui fit remonter un peu plus ma jupe sur le haut de mes cuisses, afin de faire tomber à mes pieds l’étoffe humectée d’un désir que je ne contrôlai plus.Dans ce bref mouvement, en faisant frotter mes fesses arrondies contre lui, je sentis un instant une forme engageante entre ses jambes. J’étais désormais cul nu et pour qu’il puisse accomplir son désir, il me suffisait de me pencher en avant afin qu’il puisse glisser facilement ses doigts dans la raie de mes fesses.Il n’a pas tardé à approcher sa main si douce et attentionnée déjà lorsqu’il avait fallu s’occuper de ma poitrine. Son geste était hésitant et un peu maladroit et il voulu s’excuser :– C’est la première fois. Je n’ai jamais fait ça à une femme. Céline a toujours repoussé mon geste !Je ne lui ai pas dit non plus que, malgré le fait que je ne sois pas trop coincée pour ce qui est du sexe, je n’apprécie pas non plus d’habitude qu’un garçon me mette le doigt à cet endroit ! Mais ce n’était pas comme d’habitude, et puis ce n’était pas « un garçon », mais vraiment un homme qui m’offrait la possibilité de vivre cette nouvelle sensation. Et puis c’était sa propre frustration qui entraînait mon propre désir. Avant tout j’avais la volonté de lui apporter du plaisir !– N’ayez pas peur ! Vous pouvez en y allant tout doucement.Ma voix s’était elle même adoucie davantage, comme si je voulus, par la suavité de mes propos entraîner celle de ses inédites caresses. Au début, il fut un peu difficile pour lui de forcer le passage car je dois avouer que je n’étais pas naturellement détendue. Ensuite son majeur a d’abord frôlé ma rosette ce qui m’a fait légèrement sursauter comme si j’avais reçue une légère décharge électrique, mais c’est plutôt un frisson de tout mon corps qui s’est ensuivit lorsqu’il a commencé à doucement masser mon anus. La caresse n’était pas désagréable contrairement à ma position plutôt instable et c’est pourquoi j’ai repris l’initiative.– Comme ça se sera beaucoup mieux !Je me suis levée en lui adressant un sourire face à ce que je percevais comme de l’inquiétude et je suis venue me placer à genoux sur la banquette, ma tête posée entre ses cuisses de telle sorte que ma jupe a glissé à ma taille. Dans cette posture mes fesses relevées et entièrement nues s’offraient plus franchement à ses attouchements.D’une main il retrouva facilement le vallon chaleureux alors qu’il occupait l’autre à flatter délicatement mes cheveux. J’adorais cette position et j’étais comme une petite chatte avide d’affection sous les caresses de son maître !Il faisait maintenant courir ses doigts dans le sillon de mon cul, tout en frôlant les reliefs de mon postérieur si ferme et arrogant dans la position impudique dans laquelle je me trouvais. Mais je ne voulus pas rester passive. Il me fallait répondre à ses caresses par d’autres tout aussi agréables.Je défis doucement sa braguette. L’effluve de sa verge qui vint fouetter mes narines confirma l’évidence de son désir avant même que mes doigts ne soient parvenus, non sans mal, à dégager son sexe gonflé. La hampe de chair superbe ne demandait que cette libération pour se tendre tout près de mon visage.Contrairement au massage particulier auquel j’étais en train de m’abandonner, la fellation est une pratique qui m’est bien plus familière. Je parlais de tendres souvenirs parisiens. Parmi ceux-ci, je dois relater cette pratique que j’ai découverte véritablement dans votre beau pays et que j’ai pu apprécier avec une certaine gourmandise. Je trouvais vraiment super cette façon décomplexée de s’adonner au sexe qui avait l’avantage de satisfaire les deux partenaires aussi rapidement et dans des lieux aussi variés.C’est un garçon rencontré en broîte de nuit qui me fit découvrir cette gourmande occupation. Je me suis vite rendue compte que j’adorais la sensation de la chair masculine s’engouffrant dans ma bouche, de cette odeur et de ce goût si « a****l » et du goût plus inédit encore su sperme se déversant au fond de ma gorge. J’aime vraiment boire la semence d’un garçon jusqu’à la dernière goutte et lui nettoyer la verge avec une application particulière sur le prépuce et le bout du gland jusqu’à le rendre fou !Avec un autre garçon qui partageait avec moi ce fantasme « de me voir sucer une bite » comme il disait, je me suis même laissée aller, dans une période plutôt dévergondée, à sucer à sa demande, et bien sûr avec mon assentiment, de parfaits inconnus ! Dans un premier temps c’est avec lui qui nous faisions ça vite fait, dans des endroits particulièrement excitants où l’on pouvait nous surprendre : cabine d’essayage, ascenseur, église, tour d’un château, toilettes d’autoroute.Quand j’ai accepté de le faire avec des inconnus, c’est lui qui s’avançait vers eux pour leur souffler à l’oreille notre scénario. Nous choisissions toujours un type qui m’avait mâté, mais beaucoup d’entre eux se dégonflaient devant l’aspect insolite de la situation. Pour ceux qui acceptaient, cela se faisait avec la même excitation mais de ma part avec plus d’application, grâce à cet avantage que mon copain pouvait monter la garde.Certaines fois nous allions très loin, puisque nous nous en prenions à des hommes accompagnés en profitant d’un moment d’inattention de leur compagne. Lorsque ça marchait, il suffisait de se diriger ensemble vers les toilettes les plus proches. Dans ces moments-là le plaisir était aussi exquis lorsque nous observions, main dans la main, notre cobaye retrouvant sa moitié, comme si de rien n’était !Cette période où par contre je refusais farouchement d’aller plus loin était alors révolue parce qu’une fois l’excitation de kaçak bahis l’inédit passé, il ne restait surtout que l’aspect plutôt glauque. Et puis j’ai rompu avec mon associé pervers.Devant ce sexe magnifique qui s’offrait à ma coupable convoitise, puisque j’avais devant moi la bite du mari de ma patronne qui avait toujours été si charmante avec moi, l’excitation et l’émotion de l’interdit de cette période passée où j’étais selon mon copain « sa petite suceuse » refit surface. Quand j’ai embouché la belle verge de Julien qui brillait déjà sous l’effet de son désir, j’ai retrouvé immédiatement les sensations ces folles expériences.Peut-être a t-il été surpris par la vorace dextérité avec laquelle je le suçai, toute appliquée à le remercier des douces sensations qu’il m’offrait à l’autre extrémité. Mais comme il manquait finalement un peu d’audace et que j’étais moi-même rassurée et même à nouveau dominatrice en ayant la situation bien en bouche, je ne pus qu’exprimer ma volonté avec ce qu’il me restait. Je lui pris la main pour lui faire comprendre qu’il pouvait, s’il le voulait, aller plus loin… et me doigter l’anus !C’était la première fois. Ce dépucelage, je le lui offris pour se venger de son épouse et je savais déjà qu’il serait les prémices à un autre, parce que je ne voulais pas qu’il jouisse dans ma bouche ! Quand j’ai lâché sa verge au bout de plusieurs minutes alors qu’il agitait son doigt dans ma rondelle comme à la recherche d’un mystérieux trésor, il fallait d’abord que je reprenne mon souffle !Ce n’était pas facile car son nouveau massage, tout intérieur, commençait lui aussi à produire son effet. Une fois la douleur passée, c’est bien la jouissance de me faire pénétrer qui prit le dessus. Je jetai ce qu’il me restait d’énergie pour lui souffler entre deux râles de jouissance :– Si vous voulez, vous pouvez me faire ce que Michel a fait à votre femme !Et puis toujours avec cette crainte qu’il n’ait pas compris ou qu’il n’ose pas :– C’est à vous de me dire ce que je dois faire. N’ayez pas peur. Il faut seulement m’aider à être dans la même position qu’elle, comme si nous devions reconstituer la scène d’un crime ! Je veux que vous reviviez en moi tout ce qu’elle a accepté de lui…Je ne savais plus trop ce que je disais et j’avais l’impression cette fois d’être allée trop loin… et c’est le moment qu’il choisit pour me prendre le bras et m’accompagner, afin que je me positionne sur le tapis tel qu’il le voulait.Il avait fait ça sans v******e et même avec une certaine douceur, mais la fermeté de son geste m’assurait que j’avais visé juste. Avec moi, quelque part, il souhaitait revivre la scène qu’il avait vécue, ou plutôt l’effacer en la vivant à l’identique dans les bras d’une autre.J’avais bien conscience que je n’existais plus alors pour moi-même mais comme celle qui lui permettrait peut-être, sinon d’oublier, au moins de pardonner à celle qu’il aimait vraiment. Un peu comme s’il voulait se placer à nouveau sur un pied d’égalité avec elle. Il déplaça légèrement mon bras, puis mes jambes et puis tout alla très vite.– Excusez-moi, mais ça s’est passé comme ça !Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il frotte son membre contre ma raie et qu’il me pénètre alors que je ne m’y attendais pas, pas si vite. J’ai brusquement mordu mes lèvres car la douleur était cette fois bien réelle. Il m’enculait à sec sans plus de cérémonie et moi je subissais tous les outrages de cet homme sous le prétexte de vouloir apaiser sa douleur !Bientôt il me tritura la poitrine avec une ardeur sauvage et, alors qu’il me culbutait comme un étalon sevré trop longtemps de sexe, il se mit à éructer, tout en continuant à me baiser sans tendresse, des mots qui me rappelaient ceux qu’il m’avait rapportés :– Dis-moi que tu aimes te faire enculer par ton employeur et que tu aimes la sentir profondément en toi ! Dis-moi qu’aucun garçon ne t’a jamais enculé avant moi !Je n’avais pas à jouer la comédie car la douleur première sans disparaître se mêlait à une jouissance exquise à sentir cette belle bite coulisser dans mon trou du cul !– J’aime ça ! C’est la première fois que je me fais mettre par derrière ! Je vous en prie, n’arrêtez pas !Quand je me suis effondrée en larmes, épuisée par la souffrance et la jouissance, j’ai cru un instant que je m’étais perdue en lui. Sans le vouloir j’avais l’impression d’avoir vraiment vécu ce qu’avait vécu sa femme et il m’a semblé qu’au moment où je jouissais il chuchotait :– Ma petite Céline, je t’aime si fort !Mais je n’avais pas alors la lucidité suffisante pour pouvoir le jurer.Les jours suivants furent pour moi vraiment étranges. Ma relation avec mes deux maîtres quand je les voyais ensemble n’avait pas changé. Mais je me retrouvais plus régulièrement seule avec Julien qui continuait à se confier à moi.Un jour il m’a avoué avoir retrouvé sur l’ordinateur des traces de conversations que sa femme avait eu depuis avec son amant. Les descriptions y étaient suffisamment explicites pour qu’il n’ignore rien des pratiques sexuelles particulières qu’ils avaient continués à expérimenter.C’était peut-être par curiosité malsaine mais j’étais avide de ces confidences. Et puis rapidement je me suis rendue compte que ces descriptions m’excitaient malgré moi, sans doute par ce qu’elles renvoyaient à des pratiques que je n’avais pas même explorées, parce qu’elles me semblaient honteuses ou condamnables.Après ce que j’ai raconté de ma vie sexuelle passée on pourrait penser que j’étais une vraie dévergondée qui n’ignorait rien des choses du sexe, mais ce serait se tromper lourdement.Toute l’avidité que j’avais mis un temps à « tailler des pipes » y compris à des inconnus était à la mesure de la rigueur que mon éducation protestante m’avait fait connaître en matière sexuelle ! J’avais l’impression d’avoir tout appris dans les bras de mes premiers jeunes amants. Mais brusquement, avec Julien, j’avais le sentiment qu’auprès d’un amant un peu moins jeune je pouvais apprendre bien davantage.Un contrat tacite s’est imposé entre nous et sans que je sache vraiment pourquoi, je percevais que chacun y trouverait son compte ! Tout ce qu’avait vécu son épouse, il fallait que je le vive avec lui ! Sans rentrer dans les détails de toutes nos copulations et autres perversités, je peux vous affirmer avoir accepté de me livrer à des expériences dont je ne me croyais pas capable ! Il y avait cette justification de panser les plaies de Julien, mais je me doutais bien qu’il y avait des plaies qui m’étaient secrètes et que je cherchais également à apaiser.Dans cette course effrénée j’eus l’impression rapidement de me fuir moi-même. Je n’étais plus qu’une femme objet qui n’existait que dans le désir de l’autre ! Il n’y avait plus que cette volonté absurde que d’être un corps désiré au travers du corps d’une autre femme que j’admirais pour sa beauté et grâce.Dans la jouissance perverse que je trouvais à ce petit jeu je ne sais pas ce qui comptait le plus, de faire l’amour à Julien, où de vivre les situations d’amour qu’avait connu Céline, comme si je faisais également l’amour avec elle par procuration !C’est ainsi qu’il m’a demandé de le sucer dans une cabine de piscine, ce que je n’avais pas encore fait ! Il m’a uriné un autre jour entre les seins dans les toilettes d’un restaurant en me demandant de ne pas m’essuyer, le seul parfum que je portais dans mon sac devant maquiller l’odeur indiscrète. Une autre fois il m’a demandé dans un restaurant de ne pas porter de culotte et il m’a massé la chatte sous la table jusqu’à introduire son gros orteil pour me porter à la jouissance, alors que la salle était pleine ! Il m’a branlée dans un cinéma à la fois le sexe et l’anus, jusqu’à sentir entre ses doigts l’onctuosité de ma jouissance. Il m’a baisée dans un club échangiste.Parler trop longtemps de tout cela n’offrirait, je m’en rends compte, qu’un catalogue fastidieux de situations salaces, mais je peux assurer que je vécus ces moment-là à fond et je n’ai pas honte de le dire, que j’en ai toujours tiré un motif de jouissance qui n’était pas lié qu’à l’instant, mais aussi à la satisfaction de dépasser chaque fois une étape dans l’accomplissement de ma jeune vie de femme.Aujourd’hui où je vous parle, tout cela est bien loin. Même si je garde un souvenir attendri de ces moments. Je savais qu’ils ne pourraient durer au delà de mon contrat comme jeune fille au pair qui se terminait en juin. De toute façon cela n’aurait pas été souhaitable et aurait abouti nécessairement à une impasse.Vers la fin, en faisant l’amour à Julien d’une façon toujours particulière, il était convenu qu’il fallait qu’il ait l’audace de tenter d’aborder aussi sa propre femme pour qu’elle découvre qu’il n’était pas le mari si lisse et si vertueux qu’elle s’imaginait avoir auprès d’elle. Nos rapports se sont distendus et ont bientôt perdu toute raison d’être à mesure où il se rapprochait sexuellement de son épouse. J’ai appris par la suite que la vie sexuelle de leur couple s’était véritablement épanouie, et que Céline avait finalement rompu avec l’ami de son père !Quant à moi, je viens de me marier avec un garçon de mon âge et j’attends un enfant que j’espère aussi radieux que la petite Manon. Nous aussi à notre manière nous sommes un couple modèle, mais la sexualité n’a pour nous aucune limite si ce n’est celle que nous accordent notre autre plus profond désir et le respect de l’autre. Je sais pour ma part que je dois ce privilège d’être une femme comblée par son mari au charmant Julien et indirectement à la si jolie Céline.Quant à mes seins ils sont ceux, à mon tour, d’une femme qui va bientôt enfanter. Mon compagnon a été tout surpris que je lui offre un jour de les téter.Il ne sait pas à quel point, chaque fois, la caresse de ses lèvres me renvoie à de tendres souvenirs !