Le collier de Matilde 2
Le collier de Matilde 2Le collier de Matilde 2Du bruit venait de la buanderie, pourtant sa mère aurait du être au travail… Matilde s’avance son bol à la main vers la buanderie, elle traverse le couloir et pousse la porte entrouverte.-Maman, tu ne travaille pas ?Une voix sort de derrière la machine à laver et la tête d’un homme la cinquantaine apparaît.-Bonjour. Il regarde Matilde en chemisier transparent, dans le plus simple appareil. Matilde pose une main sur son sexe.-Qui êtes vous et que faites vous là ?L’homme sort de derrière la machine en bleu de travail. Je suis Daniel, et je suis en train de changer la pompe de votre machine à laver.-Ah bon, ma mère aurait pu me prévenir qu’il y aurait quelqu’un ce matin à la maison.-Excusez moi, je suis passé par la porte du sous sol restée ouverte comme votre mère m’avait demandé, elle ne m’avait pas prévenu qu’elle aurait sa fille chez elle.-Bon ben alors faites votre travail, moi je retourne à la cuisine déjeuné. Elle se retourne pour partir en ondulant la croupe sous les yeux du dépanneur. C’est vrai que les dépanneur en voit des drôles, mais en général ce ne sont pas d’aussi jeunes filles qui montrent leurs fesses, plutôt des femmes la cinquantaine et insatisfaites. Matilde à disparu dans le couloir. L’homme se remet au travail. Arrivée dans la cuisine, Matilde commence à manger sa tartine de confiture en pensant à ce mec, près d’elle. Mais non, pas à la maison, il ne faut pas que l’on sache qu’elle aime la bite et qu’elle est une vrai salope nympho. Tout en mangeant, elle se caresse la chatte doucement. Elle fait sa vaisselle et se dirige vers le frigo pour prendre un fruit dans le bac à légumes. Elle se penche et par habitude de cette casino oyna position, elle tend ses fesses nues en l’air. Le réparateur justement pousse la porte de la cuisine pour lui annoncer qu’il à fini son travail. Il voit le spectacle de ce beau petit cul bien blanc et tendu vers le ciel. Il regarde, puis se racle la gorge. Matilde se retourne,.-Encore vous, vous n’allez pas me mater toute la matinée dit-elle en fermant le frigo.-Heu, je matte pas, c’est vous qui montrez vos…. Heu fesses.. !-Mon cul, vous pouvez le dire ainsi. Je suis chez moi et j’aime me trimballer le cul et la chatte à l’air, ça vous dérange ? Je vais dire à ma mère que vous êtes un vicieux.-Mais ça ne va pas, j’ai rien fais, moi !Elle s’approche de lui.-Tu veux me baiser ? Tu aimerais baiser une jeune ? Hein le vieux ? Elle se recule de deux pas.-Montre voir ta bite, si elle me plait, je te la suce… d’accord ?-C’est que heu, vous êtes jeune et votre mère…-Laisse ma mère, et j’ai dix huit ans… A moins que tu ne préfère les vieilles.-C’est que heu, j’ai du boulot et le patron…Elle s’appuie contre la table et écarte les jambes.-Tu peux me sucer la moules, mais pas plus si tu veux. Je ne baise pas encore avec ma chatte.-Vous ne devriez pas !-Mais t’es con ou quoi. Elle s’approche de lui et lui tâte les couilles.-Tu bandes bien, allez montre moi ton sexe. Elle commence à faire sauter les boutons. Lui ne bouge plus. Elle glisse sa main à l’intérieur.-Elle est dure ta bite, tu vois que tu as envie… Elle sort la bite, s’agenouille et avale rapidement le sexe de l’homme qui s’agrippe à ses cheveux.-Attends dit-elle… Elle retire la ceinture du bonhomme, fais une boucle et se la passe autour du cou comme un collier.-Maintenant slot oyna vas-y baise moi la bouche, je suis ta chienne. La bite raide s’enfonce dans la bouche de Matilde qu’il besogne en grognant. Elle lui caresse les couilles qui pendent. Lui, att**** la ceinture, en la traitant de chienne. Elle sait pomper, la salope. Enroulant sa langue, aspirant, caressant les bourses et tantôt caressant le cul de l’homme. Elle lui met un doigt dans le cul, il tressaute et se raidit encore plus, le doigt s’enfonce en même temps qu’elle aspire et le foutre se déverse dans sa gorge. Matilde avale, lèche jusqu’à la dernière goutte.-T’ai vraiment une salope toi.-Soit polis toi, je ne te permets pas, où je dis à ma mère que tu essayé de profiter de moi.-Mais, bon, je vais y aller, faut que je rentre. Il commence à remonter son pantalon.-Pas question, toi tu as déchargé, pas moi, on continue. Je t’offre mon petit trou.-Mais, je viens de me vider.-Justement tu me limeras le cul plus longtemps, je vais te refaire bander. Vient déjà me lécher. Elle s’assied sur le bord du plan de travail, ouvre ses cuisses et tends sa petite chatte. Il se penche et se mets à la brouter. Elle lui tient la tête et ondule sous les coups de langues. Cinq minutes plus tard, il bande, car elle lui caresse la bite avec ses pieds.-Bon maintenant tu me baise le cul, avant que ma mère ne rentre. Elle descend du plan de travail, se retourne, tend son cul.-Masse moi avec le gel et enfonce deux doigts en tournant doucement, tu vas voir, tu vas aimer. Je suis sur que tu en rêve et que ta femme ne veut pas. Je me trompe ?-C’est vrai, j’ai essayé, mais elle ne veut jamais.-Alors fais-toi plaisirs et surtout baise moi bien.Matilde canlı casino siteleri se tend, il pose sa bite contre son petit trou et pousse. Le trou s’ouvre doucement et la bite pleine de gel entre. Il s’accroche à ses hanches et se mets à la défoncer comme une brute. Elle grogne des insanités.-Je suis une chienne à bites, une truie à sodomiser, un sac à foutre… Je veux des bites pleines dans mon gros cul de putain.L’homme s’excite de plus en plus sous les mots orduriers. Ils sont là à baiser comme deux fous quand une voix se fait entendre.-Chérie tu es levée, j’ai fait les courses.-Merde ma mère, casse toi.L’homme se sauve dans le couloir pour aller à la buanderie. La mère entre dans la cuisine et trouve Matilde assise avec son bol à la main. -Tu ne travaille pas aujourd’hui ? Dit Matilde, la voix rauque.-Tu es bien bizarre toi ! Pas encore déjeuné et cette tenue, tu vas finir par att****r un ruhme à te trimballer juste en chemise. Et sans culotte c’est nouveau. Non je ne travaille pas ce matin, le plombier doit venir pour la machine à laver.-Je crois qu’il est là, j’ai entendu du bruit.-Il est déjà là et tu es cul nu ! File mettre quelque choses, s’il venait ici, que penserait il !-Que je suis chez moi, on ne rentre pas chez les gens comme ça. Bon je vais me doucher.Elle se lève et sort. Sa mère regarde la chaise et découvre le dessus tout mouillé.-Et en plus elle à renversé du lait sur la chaise, tu parle d’une sauterelle… C’est pas du lait ça, c’est tout gras.-Pardon madame, j’ai fini. La porte s’ouvre sur le plombier la sacoche à la main. Voilà la facture, j’ai changé la pompe.-Ce n’est pas très cher, c’est gentil, si j’ai un problème je vous appelle. Dit elle en faisant le chèque.-Surtout n’hésitez pas, je vous dépannerais en priorité. Excuser moi mais il faut que je me sauve, j’ai d’autres clients.A suivre… peut être… si vous le demandez et pourquoi pas donner une idée ou vos envies de la suite.