Les mecs de ma mère
Les mecs de ma mèreA l’issue du divorce avec mon père, ma mère n’a rien trouvé de mieux à faire que de s’inscrire sur des sites de rencontres. Une façon de colmater la douleur, peut-être aussi la colère.Elle n’avait pas tout à fait 40 ans et c’était une belle femme. Elle n’eut ainsi aucun mal à se faire courtiser. Autrement dit : aucun mal à se taper des mecs en série. Y compris dans l’appartement où je vivais avec elle. Y compris quand j’étais là.Le mur qui séparait ma chambre de la sienne n’étant pas très épais, il y eut des soirs où j’entendis tout : les gémissements, les soupirs et les paroles échangées. Tout. Alors il arrivait que je mette mes écouteurs pour regarder des films, mais il arrivait aussi que je ne les mette pas.Pour écouter.Il m’arrivait parfois de me masturber.La plupart des hommes restaient une nuit, puis disparaissaient. D’autres passaient quelques jours à l’appartement, voire deux ou trois semaines, et alors je faisais plus ou moins connaissance avec eux. Ma mère travaillait de nuit dans un hôpital, et il est souvent arrivé que je passe des soirées entières avec les hommes avec qui elle sortait, à discuter, à boire des verres, à dîner, à regarder des films. A ma connaissance, elle ne s’est jamais posée de questions.Autrement dit : elle ne s’est jamais demandée ce que je pouvais bien faire avec son mec du moment tandis qu’elle était au boulot.Je me souviens surtout de Serge. La cinquantaine, assez grand, un peu grisonnant, un homme séduisant. Je m’étais déjà masturbée deux fois en l’écoutant sauter ma illegal bahis mère.C’était un soir en pleine semaine et il regardait un film à la télé en buvant des bières. Ma mère était partie bosser une heure avant, après le dîner. Je suis allée prendre une douche et, à la sortie, je n’ai passé qu’une culotte et une tunique beige à petites bretelles qui m’arrivait à mi-cuisses. Mes tétons pointaient dessous, je m’en étais assurée dans le miroir. J’ai traversé le salon en sentant Serge me suivre du regard, puis je suis allée boire un verre d’eau dans la cuisine. Puis j’ai entendu les pas de Serge venir vers là.Il s’est planté à l’entrée de la cuisine et m’a dit :« Tu vas déjà te coucher ? »« Oui, ai-je répondu. J’ai envie de bouquiner un peu. »Il a hoché la tête et dit :« Tu ne veux pas boire une bière avec moi ? »J’ai fait la fille qui hésitait, puis j’ai répondu :« Je viens de me laver les dents. »Il a souri :« Ce n’est pas grave, tu n’auras qu’à les relaver… »J’ai souri à mon tour et répondu :« Bon, d’accord. »On s’est assis dans le canapé et il a baissé le son de la télé. Il a ouvert deux bières et nous avons trinqué. C’était exactement ce que je voulais.A la troisième bière, après avoir parlé de la vie pendant une heure avec moi, Serge a glissé sa main sous ma tunique. Il a touché ma culotte et, voyant que je soupirais en fermant les yeux, il a introduit deux doigts sous l’élastique et s’est mis à me branler. J’étais trempée.Un peu plus tard, il m’a défoncé la chatte par derrière, avant d’éjaculer sur mon anus en me illegal bahis siteleri traitant de petite salope.C’était le troisième mec de ma mère que je me tapais.Et c’était loin d’être le dernier, mais il est vrai que Serge me plaisait. Il me faisait des cadeaux à chaque fois qu’il venait, et puis il baisait bien. Il est resté trois semaines à l’appartement, puis ma mère a changé de mec, ce qui ne m’a pas empêché de revoir Serge, chez lui, pour m’envoyer en l’air. Je lui ai même présenté ma copine Laura, avec qui j’avais déjà baisé.Une autre fois, j’ai été plus directe. Le mec s’appelait Marc et il sortait avec ma mère depuis une dizaine de jours. Il avait tendance à me mater de façon insistante, je l’avais remarqué à plusieurs reprises. Et lui non plus ne me déplaisait pas. Il avait plus ou moins le même âge que Serge et je savais qu’il enculait ma mère.Les murs ont des oreilles…Alors, un soir où elle travaillait, j’ai décidé de sortir de la douche complètement à poil, puis d’aller boire un verre d’eau dans la cuisine. Marc n’en est pas revenu. Il m’a rejoint et m’a trouvée de dos devant l’évier.Je me souviens qu’il m’a dit comme ça :« Cache ton joli petit cul, sinon je vais faire une bêtise. »Je me suis retournée et je lui ai souri.Il m’a d’abord sucé l’anus, tandis que j’étais toujours debout devant l’évier, jambes écartées. Ensuite, je lui ai sucé la bite et nous sommes allés dans ma chambre, sur mon lit, pour se mettre en 69. Il raffolait de mon cul. Il adorait son odeur et son goût.Il m’a enculée, comme canlı bahis siteleri ma mère, et je me souviens qu’il a giclé dans ma bouche cette première fois. La suivante, il a déchargé au fond de mon cul. Une autre fois, il n’a pas pu se retenir d’éjaculer tandis qu’il était sur le dos et que j’étais assise sur sa bouche. Marc est resté quelque temps à l’appartement. J’ai couché avec lui une dizaine de fois, de mémoire, puis il a disparu de notre vie.Il est aussi arrivé que j’entre dans la chambre de ma mère après que le mec se soit couché. Je me souviens notamment de Sam, qui était en train de bouquiner quand j’ai frappé doucement à la porte. Il m’a dit d’entrer et j’ai ouvert. J’étais à poil et je lui ai demandé s’il voulait faire un câlin.Il arriva aussi que je laisse la porte de la salle de bains entrouverte pendant que je prenais ma douche, et même celle des WC. J’ai toujours aimé me faire mater. J’ai toujours aimé me montrer.J’ai joué à d’autres jeux avec d’autres mecs de ma mère. Je dirais une bonne quinzaine d’hommes âgés de 40 à 55 ans. J’ai pris mon pied avec eux, tout en sortant en même temps avec des mecs de mon âge à l’Université. Je n’ai jamais eu de scrupules. Je suis libre. Mon corps et mon esprit n’appartiennent qu’à moi.Le jugement des autres m’importe peu.*Il y a deux ans, ma mère a fini par se remarier. Le mec s’appelle Luc et je m’entends bien avec lui. Il m’offre souvent des CDs et des DVDs, parfois des fringues. Ma mère est amoureuse, je crois. Tant mieux. Je ne lui souhaite que du bonheur. On s’entend bien, elle et moi. On a toujours été complices. Et je pense qu’elle a fait un bon choix en épousant Luc. C’est un chic type, agréable à vivre, attentif, intelligent et cultivé. Et il adore me bourrer la chatte dans mon lit en l’absence de ma mère.:::