Ma tante Mado, Aliou et moi.
Ma tante Mado, Aliou et moi.A la fac j’avais un copain originaire d’Afrique. Un beau grand garçon à la peau ébène. Aliou, 20 ans, originaire du Sénégal qui faisait ses études en France. Nous étions très complices, au point d’avoir des « copines » mutuelles…J’avais invité Aliou, pour un week-end chez ma tante Mado, ma tante bien aimée… Aliou était au courant de mes relations avec Mado, car je ne pouvais rien cacher à un ami… Mes récits avec Mado l’avaient « émoustillé ». De son coté Mado était curieuse et impatiente de connaitre mon ami noir. Donc ce samedi là, assis avec Aliou dans le canapé, nous attendions ma chère tante.- Hello les garçons !!! Entendîmes nous soudain et Tantine fit son apparition au salon, juchée sur des escarpins à haut talons, ses jambes gainées d’un voile blanc à résilles, avec couture, une courte jupe, un chemisier de soie laissant apparaître un décolleté pigeonnant, dissimulant à grand peine ses gros nibards.J’observais Aliou dont le regard ne semblait pas pouvoir se détourner de la femme qui se tenait devant, sûre de sa féminité, et de la séduction torride qui émanait de sa personne, campée devant deux jeunes, un sourire aux lèvres, que nous interprétâmes comme une invitation.- Bonsoir, tu es Aliou, je présume ? poursuivit Tantine.- Euh oui, Madame…- Yves m’a dit que tu étais un petit polisson ?Aliou me jeta un coup d’œil et benoîtement, je lui souris.- Alors, je vous plais les garçons ? demanda Tantine en s’asseyant sur le fauteuil en face du canapé où nous étions.La coquine prit soin de nous gratifier d’un gracieux mouvement de ses jambes dont le résultat nous permis d’observer qu’elle portait des bas soutenus par des jarretelles.- Yves, tu nous sers l’apéro ?- Bien sur, Tantine… Mais sans alcool pour Aliou, il est musulman.-Ok ok.Elle caressait doucement sa cuisse faisant crisser ses bas. Nous trinquâmes à notre rencontre et Tantine, une fois son verre reposé, entra dans le vif du sujet sans autres tergiversations.Cette entrée en matière consistait à croiser et décroiser les cuisses le plus lentement illegal bahis possibles en nous regardant par dessous, avec son petit sourire enjôleur qui en disait long sur ses intentions libertines.- Alors, les garçons, le spectacle vous plait ? La gorge nouée par l’émotion, et l’excitation croissante, nous nous contentions de hocher la tête, les yeux exorbités devant ces jeux de jambes de plus en plus impudiques, puisque maintenant sa jupe était remontée et que pouvions admirer les cuisses striées par les jarretelles.- Dites, je vous fais bander au moins ?- Euh oui répondit Aliou…Pour ma part, j’opinais vigoureusement du chef en continuant de mater Tantine dans son exhibition laquelle maintenant passait sa main entre ses cuisses par dessus la fine culotte.- Alors ? Relança Tantine…- Euh quoi ?- Eh bien qu’attendez-vous ? Montrez moi comme vous bandez.. Sortez vos queues, les garçons…Fascinés par la dimension érotique de la situation, nous entreprîmes de concert de défaire notre braguette pour en extirper notre engin.- Déshabillez-vous ordonna soudain Tantine, alors que nous regardions sa main se glisser dans sa culotte… Mettez-vous tous les deux à poils. Je vous veux nus devant moi…Aliou, subjugué par Mado, obéit aussitôt. D’un sourcil relevé, Tantine me décida à faire de même. C’est bientôt, deux jeunes hommes nus devant elle que Tantine put voir, queues bandées.- Elles sont belles vos bites, les garçons. Allez, branlez-vous devant moi. Montrez-moi comment vous vous paluchez, mes petits cochons. Je veux vous voir vous masturber devant moi…Nous nous livrâmes ainsi, à la demande irrésistible de Tantine, cuisses maintenant écartées devant nous, au maniement de notre queue, occupation au demeurant familière, et pour ne pas dire quotidienne, mais il faut bien l »avouer, c’était une première pour nous de le faire dans de telles conditions.C’est alors que Tantine nous dévoila impudiquement son sexe humide d’excitation. Elle s’engagea alors dans une masturbation lente, méthodique, jouant de ses doigts, tantôt sur le clitoris, illegal bahis siteleri tantôt en s’enfonçant délicieusement le majeur dans les plis de sa chatte, tout en ne quittant pas des yeux nos mains qui maintenant s’agitaient de manière quasi automatique sur notre gourdin tendu.- Humm, Vous êtes superbes comme ça les garçons, branlez-vous bien devant Tantine.. C’est bon, vous me faites mouiller mes petits cochons. Ohh vous savez ce qui m’exciterait encore plus ?- Euhh … non… Tantine…- Branlez-vous ensemble…- Ben, c’est ce qu’on fait Tata… – Vous avez bien compris ce que je voulais dire. Yves, prend la queue de Aliou et branle ton copain et toi Yves fais pareil…Nous nous regardâmes, Aliou et moi, quelque peu surpris par cette invitation, mais nous avions probablement déjà dépassé nos limites, plongés dans l’érotisme torride diffusé par cette garce de Mado.C’est ainsi qu’avançant la main, je pris la hampe, chaude et dure de mon copain et lui fit de même. Nous nous branlâmes ainsi, timidement d’abord puis ensuite plus franchement sous le regard excité de MadoCette palpation réciproque se poursuivit quelques minutes et je fis le mouvement que chacun semblait attendre, Tantine la première, à savoir me pencher pour poser mes lèvres sur le gros gland turgescent de Aliou. Je commençais ainsi la première pipe de ma vie alors que Tantine, à moitié nue, se levait de son fauteuil et venait présenter, ventre en avant et cuisses écartées, sa chatte humide sur la bouche disponible de Aliou qui se laissait sucer, dévorant en même temps l’abricot.- Mes petits cochons vous m’excitez. Vas-y mon neveu suces lui sa belle bite à ton copain qui me bouffe en même temps. Hoo oui… j’adore… continue toi, gémissais Mado en caressant les cheveux de mon ami, manges-moi, dévores moi dégustes moi la cramouille…Nous communiquions dans le même délire érotique et ce fut bientôt au tour d’Aliou de me rendre la politesse, ce qu’il accepta sans hésiter, gobant ma queue bandée. Tantine vint alors prêter main et bouche fortes à Aliou et ce canlı bahis siteleri fut un ballet de langues fureteuses et de lèvres aspirantes qui dansèrent sur ma bite, et un peu plus loin du côté pile.- Petits vicieux dit soudain Tantine, il est temps de me foutre ? Venez me mettre vos bites.A ce moment, Aliou était allongé sur le tapis de telle sorte que Tantine vint s’empaler sur son gros manche rigide, offrant sa croupe à mon désir.Je me penchais alors vers le divin cul de Tantine, lui léchant la raie, désireux de préparer ma vicieuse tante à la double pénétration à laquelle elle nous invitait.- Allez viens mon petit neveu, viens sodomiser ta tante…- Hoo oui Tantine… Quelle cochonne tu fais !- Trêve de discours, mets moi ta queue petit coquin… J’en ai trop envie…Putain Aliou t’as vraiment une grosse bite ! Une bite de cheval ! Quel calibre !Je me positionnais alors devant les grosses fesses tendues de Mado, qui se les écartait des deux mains, exhibant son œillet luisant de salive et de mouille…- Alors Yves qu’est ce que tu attends pour enculer ta tante ? Vas-y mets moi ta queue…Mon gland força alors la rondelle de ma tante et c’est toute la hampe qui fut aspirée dans le tunnel de Tata, maintenant doublement queutée.Je sentais le gros engin d’Aliou qui reprenait du service dans la chatte de Tantine et nous accordâmes nos allées et venues, alternant nos coups de boutoirs. Le trio s’enfonça dans la luxure…- Ohh oui j’aime, disais Tantine, me faire sandwicher comme çà.- C’est bon salope, rétorquai-je… poursuivant le pistonnage culier de Tantine dont les déhanchements avalaient nos bites au plus profond de ses sensations.- Aaaah bourrez-moi bien mes chéris !- Tu m’avais bien dit que c’était une grosse salope ta tante, mais c’est la vérité.- Ah ! Je danse sur vos queues ! Aliou bouffe moi les tétines ! Vas-y tètes moi ! C’est boooon mes salauds !Confrontés à un tel régime, Aliou et moi ne tardâmes pas à sentir monter notre sève. Tantine le sentit aussi.- Oui… Oui !!? Mes petits vicieux, jutez moi dans les deux trous, j’adore çà…Une telle invitation ne se refusant pas, nous nous répandîmes dans les entrailles de Tantine, quasiment en même temps, cette coïncidence déclenchant à son tour l’orgasme vertigineux de Tantine, haletante, qui exprima vivement son plaisir.