PAS FAROUCHE LA STAGIAIRELorsque j’étais responsable d’un petite chaîne de production dans le Nord, j’ai eu l’occasion de rendre service à une des secrétaires de l’établissement en aidant sa fille Laurence à obtenir un stage à l’étranger. J’ai rédigé une lettre de présentation en espagnol et j’ai téléphoné directement à un collègue espagnol pour qu’il s’occupe bien de la jeune Laurence. j’ai pris régulièrement des nouvelles du déroulement du stage. c’était totalement désintéressé et je souhaitais vraiment aider cette femme (qui est une trés bonne salariée) et sa fille.Début Septembre, une semaine après la fin du stage, j’ai vu arriver Laurence à vélo une fin d’après midi. Elle avait fait une quinzaine de kilomètres pour venir me remercier pour ce stage qu’elle avait particulièrement aimé. j’ai appris plus tard qu’elle s’était surtout fait sauter par la moitié des hommes qui travaillent dans cette petite boite espagnole. On me l’a effectivement décrite comme une fille pas très farouche et très portée sur le sexe. Je lui ai donc offert une petite coupe de champagne pour fêter la réussite de son stage: elle était là, balçova escort en jupette et T-shirt laissant voir une grosse partie de son anatomie et notamment ses petits bourrelets. Elle n’avait pas l’air gênée de se montrer de la sorte et ne cessait de me demander comment elle pouvait me remercier pour l’aide que je lui avais apportée. Me sentant sans doute un peu hésitant, elle s’est levée et a fait passer son T-shirt au dessus de sa tête à une vitesse dingue et s’est retrouvée plantée devant moi avec ses 2 énormes seins qui bougeaient à chacun de ses mouvements. J’étais médusé devant ces grosses mamelles et leurs larges tétons, si bien que Laurence a pensé que je ne souhaitais pas profiter de son corps. Elle a repris son T-Shirt et s’apprêtait à le remettre quand je me suis décidé à lui dire qu’il ne fallait pas qu’elle se rhabille. Elle devait attendre avec impatience ce signal car en moins de 5 secondes elle était nue devant moi. Elle me fait remarqué qu’elle s’est entièrement épilée la chatte en ajoutant ‘je suis lisse comme vous aimez’. Aujourd’hui, je me demande encore qui a bien karabağlar escort pu lui refiler cette info que je suis fan des chattes épilées. La suite a été une partie de jambes en l’air d’une intensité inouïe. fellation, cunnilingus, 69, pénétration vaginale, le sommet étant le moment ou elle a joui en poussant des cris bestiaux qui ont bien duré quelques minutes. Cette fille dodue était une bombe sexuelle de premier ordre totalement désinhibée et insatiable. Elle m’a glissé qu’elle avait un peu honte de s’être comportée comme une ‘pute’ avec moi, ce à quoi je lui ai répondu que pour moi elle n’étais pas une pute mais plutôt une vraie bonne salope qui aime le sexe. ‘j’ai pas fait semblant de jouir ‘ m’a t’elle dit. ‘C’est la première fois que je prends mon pied avec un vieux’ a t’elle ajouté. j’ai été un peu vexé par cette remarque, même si avec mes 33 ans et ses 19 ans; la phrase était on ne peut plus réaliste. J’ai eu envie de la punir pour cette phrase peu gentille et je l’ai retournée sur le canapé et je l’ai sodomisée brutalement pendant un quart d’heure à grand coups de boutoirs. izmir escort En même temps, je lui donnait des claques de plus en plus violentes sur les fesses en espérant qu’elle me demande d’arrêter. Au contraire, elle semblait m’inciter à continuer à la pilonner et à la frapper en me lançant des ‘encore ‘ et ‘plus fort’ qui ont fini par me faire jouir avec une grande intensité. Un pied pas possible ! Je suis resté de longues minutes haletant sur mon canapé; pendant ce temps, Laurence a trouvé toute seule le chemin de la salle de bain, s’est douchée et est revenue avec un gant de toilette et m’a délicatement nettoyé le sexe. En quelques secondes, elle s’est rhabillée, m’a claqué un baiser sur la bouche et est repartie à vélo. Une demie heure plus tard, un petit texto est arrivé ‘ ma chatte est encore brulante et espère que vous la referez vibrer bientôt’ signé ‘votre bonne salope à votre service’. j’ai appris plus tard qu’elle s’était surtout fait sauter par la moitié des hommes qui travaillent dans cette petite boite espagnole. On me l’a effectivement décrite comme une fille pas très farouche et très portée sur le sexe. Même si j’ai mis un peu de temps à me remettre de cette rencontre torride, j’ai bien entendu recontacté Laurence (le texto avait pour but de m’inciter à la rappeler) et nous avons revécu quelques extases ensemble dont un week-end entier que j’espère vous relater plus tard.