Plaisirs saphiques avec mon amie plantureuse

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Plaisirs saphiques avec mon amie plantureuseVous allez peut-être trouver, lectrices et lecteurs, que mon histoire n’est pas très bien construite mais il s’agit d’un extrait d’un petit roman érotique que j’ai commencé d’écrire pour m’amuser. Ce dernier relate les aventures sentimentales (et érotiques bien sûr) d’une professeure dont une des préoccupation principale est de séduire ses anciennes élèves devenues majeures à la sortie du lycée mais qui ne dédaigne pas faire l’amour avec ses collègues amies et même initier aux plaisirs lesbiens les femmes seules (ou pas seules) de son immeuble. N’y voyez pas une autobiographie de son auteure !Véronique était une vieille fille, elle aimait sans méchanceté connaître les histoires sentimentales (et aussi de cul à mon avis) des autres et, surtout les miennes. Je ne sais pas si elle s’en amusait, si cela la rendait un peu jalouse ou malheureuse, la renvoyant à sa propre situation ou un peu des trois. En effet, je la connaissais depuis près de vingt ans, depuis qu’elle avait été nommée au poste de prof de lettres dans le lycée et je ne lui avais jamais connu de relation. Elle avait été atrocement trompée et humiliée par un homme avant son arrivée dans l’établissement et cela l’avait conduit à refuser tout autre engagement. C’est la seule information que j’avais été capable de lui soustraire sur le sujet. De plus, elle était terriblement complexée par son physique qui pourtant n’était pas repoussant – cela dit, je n’avais jamais eu la tentation de coucher avec elle, elle me l’avait d’ailleurs fait remarquer.-« Tu me dis tout le temps que je ne dois pas complexer, que je ne suis pas plus moche que les autres nanas mais tu ne m’as jamais draguée et quand on connaît ton penchant pour les femmes, c’est un signe qui ne trompe pas. Et puis, je n’ai pas tous les garçons assis au premier rang avec pour principal objectif “pédagogique” de regarder mon décollette, mes fesses moulées dans un jean. Dans les escaliers, je n’ai pas encore vu d’élèves attendre que je sois en haut des marches pour essayer de voir ma petite culotte lorsque j’ai eu une jupe plus courte que celle des élèves. »-« Écoute, déjà tu ne mets pas de tenues un peu sexies, tu ne risques pas de les affoler avec tes hardes, enfin ce que tu te colles sur le corps. Ensuite, on ne couche pas avec une amie. La relation d’amitié ne s’accommode pas de cela. »Bon il faut avouer que, même si Véronique était de deux ans ma cadette, elle était (en toute modestie) vraiment moins attirante. Elle était assez grande mais très forte, des hanches larges, de grosses cuisses, une poitrine et un ventre de déesse-mère du Néolithique. Son visage n’était pas désagréable mais ses cheveux raides et des lunettes rondes ne l’avantageaient guère.Bon, je suis peut-être méchante mais elle ne faisait pas fantasmer les hommes non plus.Je décidais tout de même ce jour-là de lui faire reprendre confiance en elle. J’étais épanouie, prenais la vie comme elle venait, donc je tenais même si adiosbet yeni giriş c’était maladroit de lui venir en aide. Et puis, selon ma formule, ce n’est pas parce qu’une femme est moche qu’elle n’a pas le droit de s’envoyer en l’air.-« J’ai une proposition à te faire Véro, j’ai regardé nos emplois du temps, nous sommes libres toutes les deux le mercredi et le jeudi. Eh bien, je dois aller à Paris, jeudi prochain, tu vas m’accompagner, je vais m’occuper de renouveler ta garde-robe. Je connais un magasin qui fait de jolies choses ».-« Spécial grandes tailles… »-« Tout à fait mais ce ne sont des vêtements de mémère, ils sont coupés en Italie et adaptés à la morphologie de chacune ; je crois que c’est vraiment super. »-« Bon d’accord. »Voilà qui me faisait plaisir et j’y allais également pour faire des emplettes, sexies pour certaines d’entre elles, bien entendu !Le jeudi, nous étions donc à Paris. Le matin, ce fut culturel avec la visite d’une exposition sur la peinture espagnole du XVIIIème siècle, puis vinrent les courses l’après-midi. J’emmenais donc Béatrice dans le fameux magasin, il était spécialisé dans les grandes tailles mais offrait un choix de vêtements et de chaussures impressionnant, du classique au plus coquin. Mon amie fut emballée par la boutique, elle acheta des robes, des chaussures et s’éclipsa dans le rayon lingerie, revint 20 minutes plus tard avec plusieurs paquets. Nous y passâmes plus de deux heures et j’eus juste le temps de m’acheter un ensemble soutien-gorge et string du plus effet car la boutique vendait également des vêtements de taille normale.-« Je te remercie, ma chérie. Jamais, je n’aurai jamais osé y aller seule. Les vendeuses te mettent à l’aise et j’ai acheté de quoi mettre en classe mais aussi des sous-vêtements que je n’imaginais même pas porter ce matin. Tu m’as toujours dit qu’une femme qui porte de la belle lingerie, même si personne ne la voit, apparait plus épanouie. »Le temps de trajet de retour nous parut très court et il était près de 20 heures quant nous sortîmes de la gare où j’avais garé ma voiture. Je raccompagnais Véronique chez elle, elle m’invita à dîner pour me remercier de cette bonne journée.Nous avons mangé une pizza, puis alors que j’allais prendre congé, mon amie me dit de rester car elle avait envie d’essayer ses nouvelles fringues. Je m’assis sur le canapé alors qu’elle se changeait dans la chambre. Les premiers essais furent concluants, les pulls, robes, bien taillés amoindrissaient ses formes ; au troisième essai, elle revint avec un bustier moulant et une jupe noire courte qui lui arrivait à mi-cuisses.-« Alors, toi qui me dit que je ne suis jamais sexy. Qu’en penses-tu ? » me dit-elle en esquissant une large sourire.-« Waouh ! Jamais je n’aurai pensé que tu te serais acheté cela. Tu n’es pas mal du tout, même super bien… » lui répondis-je en regardant des cuisses très rondes, ses pieds boudinés dans ses escarpins.Une sensation étrange s’empara de moi, je trouvais adiosbet giriş Véronique désirable, je le sentais au fond de mon ventre et surtout de ma culotte qui s’humidifiait.-« Dis donc, tu as aussi acheté de la lingerie, tu ne l’as pas essayé ? »-« Tu crois, tu vas te moquer de moi. Non, je ne veux pas »-« Allez, je voudrai voir ça, on est entre nanas »-« D’accord mais je ne vais pas être à l’aise »Véronique passa dans la chambre attenante au salon, elle laissa la porte entre-ouverte. Je retirais mes chaussures pour ne pas faire de bruit et à pas feutrés, j’allais l’observer. Mon amie était en train d’ajuster des bas élastiqués, elle était de dos, les bas faisaient un bourrelet en haut de ses cuisses mais mettaient en valeur ses énormes fesses. Elle enfila alors un string noir dont la ficelle disparut totalement, puis elle tenta de mettre son soutien-gorge. J’entendis alors un juron.-« Que se passe-t-il ? », dis-je, tenant à saisir l’occasion.-« Je n’arrive pas à agrafer mon soutien-gorge. »-« Je viens t’aider » dis-je en pénétrant dans la chambre quelques instants plus tard. « Tu es appétissante comme ça, attends je vais mettre les agrafes ».Je saisis les bretelles au soutien-gorge mais au lieu de tenter de les fixer, je les laissais retomber, je glissais mes mains sous les bonnets et je me mis à caresser les gros seins tombants de Véronique tout en lui embrassant le cou.-« Mais arrête Béatrice, qu’est-ce que tu fais ? Arrête tout de suite. »-« Tu es belle mon ange et tu m’as assez reprochée de ne pas m’intéresser à toi. Laisse-toi faire ».Ses tétons commençaient à durcir et elle me laissait prendre ses seins à pleines mains, sa respiration s’accéléra. Je continuais mon petit jeu assez longtemps, puis je l’obligeais à se retourner, son soutien-gorge glissa alors que je posais mes lèvres contre les siennes et ma langue pénétra dans sa bouche. Je n’allais m’arrêter en si bon chemin alors que ma cyprine coulait le long de mes cuisses. Le lit était proche, je poussais Véronique, elle se retrouva allongée sur le dos, il ne fallait pas lui laisser un instant de répit, je me mis sur elle, embrassant son cou, ses seins, son ventre tout en me déshabillant. Elle poussait de petits cris, puis je m’attaquais à ses cuisses, maintenant je devais retirer son string. Elle résista, je dus passer de longues minutes à lécher, embrasser, sucer ses seins tout en caressant son ventre pour la décider. Ses cris commençaient à devenir plus sonores, rapidement je retirais le string et j’écartais ses cuisses. Je découvris une belle chatte, épilée, entourée de petits bourrelets. Profitant de sa position, j’embrassais l’intérieur des cuisses dont la peau était très douce, puis je plaquais ma bouche contre son sexe et commençait à le lécher.-« Mais tu es folle, dit-elle en tentant de me repousser la tête ».Je pris ses mains que j’embrassais, elle me laissa faire. J’écartais délicatement les lèvres, plaqua ma bouche sur sa vulve bien ouverte et entra le plus adiosbet güvenilirmi profondément possible ma langue à l’intérieur. Ses cris devinrent bientôt des râles et des gémissements très excitants, j’avais passé mes bras autour de ses cuisses et mes mains parvenaient à caresser ses tétons, je m’acharnais sur son vagin maintenant dégoulinant, léchant les parois intimes. La cyprine coulait sur mon menton, mais aussi le long du périnée humidifiant l’anus. Je ramenais alors une de mes mains, puis je m’attaquais à son œillet, en le caressant pour mieux le lubrifier, puis j’y entrais mon majeur. Je commençais un mouvement de va-et-vient essayant de caler le mouvement de mon doigt avec celui de ma langue qui explorait son vagin. Véronique gémissait en prononçant mon nom :-« Béatrice, je t’aime, oh ouiiiiiiiiii, c’est bon, c’est bon, encore, encore ».Je continuais à la fourrager ainsi pendant au moins 20 minutes lorsque mon amie plantureuse eut un spasme violent, elle poussa un long cri et ma bouche fut remplie par un liquide chaud et légèrement visqueux, je dégageais la tête et vis de petits jets réguliers sortir du vagin. Mon Dieu, ma copine était une femme-fontaine, je m’empressais d’accélérer les mouvements de mon doigt entre des fesses et je m’en pris à son clitoris que je mordillais, suçais. Je reçus rapidement ma récompense sous la forme d’un jet plus abondant qui m’arriva en plein visage. Béatrice se calma mais ses jambes tremblaient sous la v******e de l’orgasme, elle caressait mes cheveux me murmurant des mots d’amour. Puis elle me retourna sur le lit et se mis sur moi, j’étais écrasée sous son poids, je sentais ses seins lourds sur ma poitrine, elle embrassait goulument ma bouche, mon visage encore trempé de sa sécrétion vaginale, mes seins, mon ventre. J’écartais les cuisses et elle s’attaqua à ma petite chatte qu’elle léchait avec application, c’était à mon tour de gémir et de connaître l’orgasme.-« Je t’aime, mon poussin. Tu m’as donné tant de plaisir, que veux-tu que ta petite obligée te fasse. »-« Eh bien, lèche mes cuisses, mes fesses et ensuite ma jolie rondelle » lui répondis-je sans hésiter en me retournant.Cela dura longtemps, Véronique y mettait une grande application. Je me mis à quatre pattes, elle écarta mes fesses et en lécha les parois avant que sa langue ne s’attaque vigoureusement à mon œillet. J’aimais cela par-dessus tout, je remuais mon derrière pour ressentir plus d’effets encore, ma chatte dégoulinait alors que je haletais. J’eus un nouvel orgasme plus violent que le premier et retombait épuisée sur le lit.Je passais le reste de la nuit chez Véro, nous étions habitués à aller travailler en effectuant du covoiturage. Mon amie insista pour que je couche dans son lit, je dus insister pour dormir car elle ne cessait de m’embrasser. Le matin, au réveil, j’eus le droit à un nouveau cunnilingus. Autant dire que mon état de fatigue empirait et je redoutais maintenant la venue de Chloé (ma petite amie qui avait le tempérament volcanique de ses 19 ans) ce soir. Entre les cours, leur préparation, les sorties culturelles dont je raffolais, les courses, un minimum de travaux domestiques, un peu de sport et mes parties de jambes en l’air, j’avais un emploi du temps qui s’annonçait chargé.

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