Un matin comme tous les autres ?
Un matin comme tous les autres ?Ce matin au réveil, tu étais là, comme tous les matins depuis plusieurs années.Et pourtant comme chaque matin, avant même d’ouvrir les yeux, la première chose que je fais est d’étendre ma main et de la poser sur la partie de ton corps la plus proche de moi. Parfois ta hanche, parfois un sein, aujourd’hui tes fesses.Et ta peau douce et chaude éveille ma main qui parcourt un petit cercle autour de son lieu d’atterrissage.La courbe de tes fesses me plaît tant.Les cercles s’allongent et deviennent des ellipses en atteignant le bas de ton dos, en détaillant le coutour de chaque vertèbre.A ta respiration, je sens que tu émerges du sommeil. Tu respires plus profondément et un peu plus rapidement.Ma paume atteint désormais tes épaules qu’elle contourne pour suivre ton bras, ton avant-bras puis tes fesses, ta main étant au chaud sous ton ventre.Je m’y attarde tant j’aime cette partie de ton corps et ces caresses te tirent quelques soupirs de contentement.Alors je remonte et passe mes doigts dans le creux de ta nuque et dans tes cheveux épais et désordonnés par la güvenilir bahis nuit.Je parcours ainsi ton corps de longs moments, jusqu’à ce que tu sois suffisamment réveillée pour te retourner, faire un effort pour déposer un baiser sur mes lèvres et t’allonger sur le dos.J’accède ainsi à l’avant de tes épaules, la colline de tes seins que je gravis du bout des doigts jusqu’à la clairière violette et son sommet ; sommet de coton qui devient peu à peu sommet de pierre à mesure qu’il s’élève et durcit.Tes côtes, ton ventre encore chaud de tes rêves nocturnes, au bas duquel ta douce toison accueille ma main et dans laquelle mes doigts glisse.Alors que je caresse ta cuisse, jusqu’au genou, imperceptiblement tu as écarté tes jambes alors serrées.Comme un message pour que j’explore cette partie cachée, ce que je fais en effleurant à peine, ce qui provoque un sursaut.###########Plus tard, je suis déjà habillé quand tu restes au lit pour encore un instant de paresse.Avant de quitter la chambre, je dépose un baiser sur tes lèvres. Ta langue cherche la mienne.J’ai envie de voir ton corps nu à türkçe bahis la lumière rasante du matin.Je descends les draps et découvre, redécouvre ton corps que j’avais parcouru de ma main tout à l’heure.Je retrouve ta poitrine, ton ventre, ta toison, tes cuisses…Un bisou sur le ventre, puis je déplace tes jambes pour placer ma tête entre elles et, du bout de ma langue, toucher les lèvres qui recouvrent ton clitoris.Je les prends ensuite dans ma bouche entièrement.Je sens leur douceur, je sens leur odeur, je sais que dans quelques minutes j’en sentirai le goût.Ma langue se glisse entre tes lèvres et parvient jusqu’à ton clitoris.Sursaut et soupir. Presque un gémissement.J’en fais le tour, le noie de salive et le stimule de toute la surface de ma langue.Gémissement de plaisir.Je m’y attarde en variant la force d’appui, la fréquence, la longueur de mes coups de langue.Et de temps en temps je lève les yeux pour voir tes réactions.Te mordre les lèvres. Poser une main sur un sein. Ouvrir grand les yeux. Les clore fermement.Tes hanches suivent désormais le rythme de ma langue, devenu plus güvenilir bahis siteleri régulier. Et plus rapide.Tu tournes légèrement sur un côté, ce qui ouvre à moi tout ton sexe.Tout en continuant de stimuler ton clitoris, je glisse alors un doigt, puis rapidement un deuxième dans ton sexe. Ils prennent la forme d’un crochet puis, l’un après l’autre, viennent frotter contre la paroi antérieure, en direction du ventre, en direction de la partie immergée de ton clitoris.Il ne faut que quelques instants pour que tu redresses ta tête vers moi et que tu me dises dans un souffle : “j’ai envie que tu me prennes”.Je souris. Tu as vraiment apprécié mes attentions, on dirait.Je déboutonne mon pantalon, sors mon sexe de mon boxer.Te lécher m’a rendu tout dur.Te lécher t’a rendue toute humide.J’entre en toi sans effort.Mon excitation est grande. Je lèche ton cou, le lobe de tes oreilles, je les mordille.Les va-et-vient sont forts et rapides. Je sens que ma langue t’a déposée au bord du gouffre du plaisir.Quelques instants plus tard, dans un long gémissement, je sens en effet les muscles de ton sexe se contracter en longs spasmes sur le mien.Cette sensation décuple mon désir et je viens à mon tour en toi. Puissamment.Nos regards encore plein d’extase se croisent et nous nous embrassons avec fougue.Un matin comme tous les autres…