La belle inconnue

Masturbation

La belle inconnueEn ce matin d’automne gris, venteux et glacial, je m’étais garer sous de grands érables rouge et jaune au fond du stationnement pour visiteur complètement désert de l’hôpital Psychiatrique de Chicoutimi-nord. Un endroit isoler, en dehors de la ville, en pleine forêt, un bâtiment de brique banal sur deux étages, là où on cache les fous, les déranger, les dépressifs, etc. Mon meilleur ami y travaillait comme préposer aux malades et, il m’avait demander de l’y amener pour qu’il puisse aller chercher sa paye et régler un problème avec son patron. Dès qu’il fut entré dans le bâtiment, je stoppai le moteur de mon pickup. Le rugissement du vent s’amplifia tandis que de grosses feuilles d’érable colorer s’entassaient déjà sur le pare-brise et le capot. Quelques minutes plus tard, mon attention fut attirée par une fille sortant de l’entrée principale de l’hôpital pour rester la, a attendre, mains dans les poches de son manteau ; dans la vingtaine, peut-être trente, plus vieille que moi en tout cas. Une petite brune mince et mignonne en jupe d’écolière, bas collant noir, soulier à talon plat et manteau court. Je fantasmais déjà sur elle, une main sur l’entre-jambe, me caressant doucement et discrètement par-dessus mon jean tandis que le vent plaquait ses cheveux fins et courts sur son visage pâle et soulevait sa jupe dévoilant le haut de ses cuisses superbe. Ma bite frétilla et gonfla un peut le long de ma cuisse tandis que j’espérais que le vent soulève complètement la jupe histoire de voir si c’était des bas collants ou non. Elle était en plein le genre de fille que je trouvais trop bien pour moi, trop jolie, j’étais comme ça a l’adolescence, timide, réserver, peu sur de moi. Mine de rien je frottais toujours ma bite qui s’allongeait dans mon pantalon en l’imaginant dans mon lit étendu sur le dos, nue, et moi sur elle a m’agiter frénétiquement. Un fantasme banal d’ados…« Une employer sans doute » m’étais-je dis en la regardant dégager ses cheveux fins de son visage pour ensuite s’adosser au mur et s’allumer une cigarette en protégeant son briquet avec ses mains avant de le remettre dans la poche de son manteau. Une secrétaire ? Une infirmière ? Marier ? Des enfants ? Une sacrée belle femme en tout cas. Son manteau court était à peine soulevé par ses seins que je me plaisais à imaginer petits, rond et ferme et sans aucun doute très doux. Elle regarda longuement le ciel gris d’un air triste et baissa la tête en exhalant la fumée aussitôt chassée par le vent et là, elle m’aperçut. Elle me fixa longuement les yeux mis clos en tirant à nouveau sur sa cigarette. Je détourner le regard par timidité tout en me lâchant l’entre-jambe de peur quelle ce soit rendu compte de ce que je faisais même si elle était assez éloignée, et soudain, je la vis venir vers moi d’un pas décider. Je paniquai tandis que mon imagination s’emballait. Qu’est-ce qu’elle me voulait ? Peut être quelle était fâché par ce quelle c’était aperçut que je me caressais la bite en la regardant ou qu’elle s’imaginait anadolu yakası escort que je l’avais carrément sorti de mon pantalon et que je me masturbais comme un sale pervers. Merde ! Je commençais à paniquer tandis qu’elle arrivait droit sur moi. Le coeur battant, je la regarder s’approcher sans ce soucier de sa jupe malmener par le vent d’automne qui fini par ce soulever complètement avant de redescendre (bas collant et slip blanc. ) J’avais enregistré ça du coin de l’oeil en déglutissant sans oser baisser les yeux, car je la voyais déjà m’engueuler en me menaçant d’appeler la police. Je suis comme ça, j’imagine toujours le pire de scénario. Une fois près du camion elle jeta sa cigarette au vent puis ouvrit la portière côté passager et grimpa pour s’asseoir près de moi et referma la porte prestement avec force. Assise, mains sur les cuisses, elle se tourna vers moi. J’étais figé tandis qu’on se regardait droit dans les yeux. J’attendais quelle dise quelque chose, mais… rien. Mon coeur cognait si fort qu’elle devait l’entendre par-dessus les rugissements du vent. Vue de près, je me suis aperçue qu’elle avait plus de trente ans, mais qu’elle avait encore son corps d’adolescente. Elle ressemblait à la belle Marie Plourde, l’animatrice vedette de Music Plus à l’époque ( le MTV du Québec ) mais avec les cheveux plus courts et moi je ressemblais a un clone malade de Sherlock Holmes. Rien pour attirer une fille comme elle.-Salut ! Dis-je après quelques secondes d’hésitation, décontenancer par son comportement et parce qu’ elle me regardait toujours sans rien dire, sans aucune expression sur son doux visage pâle comme la lune. Mon coeur cognait jusque dans ma bite, car elle était vraiment belle ; aucun maquillage, des lèvres bien dessiner, sans rouge, des taches de rousseur couvrait son petit nez au bout arrondit, de beaux yeux noisette à demi fermer au long cil noir et ses cheveux bruns était tout entremêlé. Sa seule présence me mettait dans tous mes états tandis que son parfum délicat embaumait la cabine. Je déglutis très mal alaise, plus intimider que jamais par ce silence angoissant et parce que c’était une femme et non une ado de mon âge. Tout ce que je trouvai à dire c’est… :-Je peux vous aider ? Vous voulez que je vous emmène en ville ? Ça va ?Aucune réponse et elle fixa mon entre-jambe. Mon coeur s’arrêta un moment et repartit tout croche tandis que je déglutissais bruyamment. « Ça y est , elle va me sermonner ou pire, me gifler. » Mon petit cerveau surchauffait.Mais soudain, elle se pencha vers moi, je me raidis par réflexe comme si elle était un vilain serpent et, a ma grande surprise, elle détacha rapidement ma ceinture, me déboutonna, baissa ma fermeture éclair puis descendit mon jean et mon slip aux genoux avec force jusque sous le volant et en un temps record. J’avais soulevé les fesses par réflexe. J’étais si surpris que j’étais rester la, mains en l’air, a la regarder en me demandant ce qui m’arrivait ataşehir escort tout en bandant malgré tout. C’était tout de même très excitant de ce retrouver bite et couilles a l’air devant cette femme. Elle agrippa mon sexe qui sursautait en enflant, sa main glacer me donna une véritable décharge électrique et, se penchant plus, elle l’avala sans détour pour commencer a me sucer en gémissant comme un petit a****l. Je finis de bander complètement dans sa bouche chaude et pleine de salive en me demandant ce qui m’arrivait. Tout allait si vite et c’était si bon que je n’eus pas vraiment le temps de réfléchir à ce qui motivait cette femme à me sauter dessus comme ça et surtout a me faire une pipe, ici, en plein stationnement. C’était fantastique, presque trop, trop beau pour être vrai et pourtant… ça l’était. Je sentais trop bien ses lèvres arrondit glisser sur ma hampe et sa langue pointue s’agiter et ça me tournait la tête. On ne m’avait pas sucé souvent a l’époque, quelque gars me l’avait fait et 2 ou 3 filles, mais par une femme plus vielle que moi et aussi bandante, ça ne m’était arrivé qu’une fois, par la mère de mon ami justement, mais cette femme la ce matin la, elle y mettait vraiment du coeur. Je finis par baisser les bras pour la toucher en gémissant de plaisir tout en surveillant du coin de l’oeil la porte de l’hôpital en priant pour que mon ami prenne tout son temps. Je glisser finalement une main sous ça jupe portefeuille pour lui palper les fesses puis le sexe par-dessus son collant et son slip, je le sentis chaud et gonfler et cela la fit gémir un peut plus et moi avec. De l’autre main je caressais ses cheveux lisses et soyeux plus excités que jamais la forçant un peut, sous le coup de l’excitation, à m’avaler plus profondément et cela ne sembla pas la déranger, bien au contraire. Une main sur ma hampe, elle me suçait drôlement bien, mais vraiment trop vite comme si elle était pressée. Peut-être quelle n’avait que 10 ou 15 minutes de pause. En tout cas, mes couilles en étaient déjà toutes rentrées par en dedans et mes yeux tout retourner. Je gémissais de plus en plus en sentant de la salive me couler sur les couilles jusque sous les fesses tout en rêvant quelle grimpe sur moi pour me baiser, mais je la laisser faire.-Ouf… soufflai-je les yeux révulser, vas s’y doucement, je vais jouir ma belle !Mais elle continua avec vigueur en agitant la langue autour de mon gland, me faisant serrer les fesses et me tortiller de plus en plus sur le siège. Elle suçait, aspirait, expirait par le nez comme si sa vie en dépendait, j’en tremblais de plaisir en râlant. C’était vraiment trop bandant de me faire tailler une pipe par cette femme pour que je puisse me retenir longtemps et ce qui devait arriver, arriva. Je sentis mon sperme monter et ce fut l’orgasme, l’explosion, me coupant le souffle. Mon premier jet, le plus puissant, lui emplit la bouche tandis qu’elle sursautait légèrement. Par réflexe j’appuyai fortement sur sa tête de peur ümraniye escort quelle ne sorte ma bite de sa bouche tout en râllant de plaisir en déchargeant en abondance. Elle serra les lèvres sous mon gland et me pompa avec vigueur en avalant tout ce qui giclait. Je sentais sa langue écraser mon membre contre son palais a chaque fois quelle avalait une gicler de sperme. Jamais je n’aurais cru en me levant ce matin-là que j’allais me faire sucer par une aussi belle femme et surtout que j’allais lui jouir dans la bouche. Mon orgasme diminuait déjà et elle avalait toujours quand soudain la porte côté passager s’ouvrit. C’était mon ami et il rit en découvrant le tableau. Moi je me bavais dessus en finissant d’éjaculer tandis qu’elle recommençait à donner de la tête malgré le vent qui s’engouffrait maintenant dans la cabine. Mon gland était devenu si sensible que je grimaçais en reprenant mon souffle difficilement le visage en feux.-Ta jouis ? Me demanda t-il amuser en fixant le cul de la femme.-WAIS ! Avais-je répondu faiblement en tremblant, encore sous le choc de l’orgasme.Puis j’avais baissé les yeux embarrasser de me faire surprendre comme ça tandis quelle continuait, mais mes couilles était vides et ma bite vraiment trop sensible, elle me faisait même un peut mal.-Sandrine, qu’est ce que tu fais là ? Cria-il en prenant un air enrager. Rentre à l’hôpital, vite !La fille stoppa net et se redressa en se tournant vers lui pour le regarder comme un petit a****l apeurer, les lèvres et le menton couvert de sperme. Elle sortit rapidement et partit dans le vent vers l’hôpital en s’essuyant la bouche sans même un regard en arrière et j’en fus déçu en regardant le balancement de son beau derrière. Je m’imaginais déjà la revoir, lui demander son numéro, même si je trouvais bizarre la manière dont elle l’avait écouté. En fait, j’avais envie de lui courir après tandis que mon ami s’assoyait et refermait la portière.-C’est qui ? Lui demandais-je en pressant ma bitte couverte de foutre, gêner maintenant d’être comme ça, bite a l’air devant lui même si ça m’excitait un peut. Une infirmière, une réceptionniste ?Il rit avant de répondre.-Non ! Une malade, une nymphomane, une vraie.-Merde !Tu me niaises ? Une belle femme comme elle !-WAIS ! On la pogne tout le temps en train de sucer ou de se faire mettre par d’autre malade ou de se promener à poil. Sa famille la placer ici.-Wow ! Fis-je tout de même un peut déçut. Et toi, t’en as profité ?-Je perdrais mon emploie ! Fit-il rieur.-Et, elle a le droit de sortir ?-Oui ! Dans la cour et juste pour fumer, en principe. T’as pas de prépuce ?-Hein ? Eh, non. Ma mère me la fait enlever à ma naissance, les médecins le conseillaient à l’époque, question d’hygiène qui disait.-Ah WAIS…-OK ! Passe-moi la guenille sous le siège de ton côté.-Les gars doivent rigoler a la sécurité. Dit-il pencher en récupérant le torchon et me le donnant.-Pour quoi ? Demandai-je en m’essuyant la queue toujours raide et ultra sensible. Il l’on vue venir ici et ils n’ont rien fait, juste pour rigoler ?Pour toute réponse il me montra l’un des hauts lampadaires qui éclairait le stationnement le soir, celui tout près de mon camion en pointant le sommet du doigt. J’y vis une grosse caméra de surveillance pointer droit sur moi. Figé, bouche ouverte, la queue dans les mains, j’entendis mon ami éclater de rire.

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