Sextoy / Histoire de vibrations..
Sextoy / Histoire de vibrations..J’ai l’impression que l’on m’a oublié à l’intérieur ! Elle est en train de remettre sa culotte et moi, je suis toujours coincé là. Peut-être qu’elle ne peut plus me ressortir, et qu’il faut qu’elle aille à l’hôpital, aux urgences. Elle espère peut-être que Georges Clooney viendra me délivrer ! Vous l’aurez compris, je suis un sextoy.Un sextoy mobileD’abord les transports en communs : c’est bon, elle a une place assise. Il est à côté d’elle. Parfois, il sort la télécommande de la poche de sa chemise, lui montre, fait semblant d’appuyer sur le bouton mais non, je ne reçois aucune commande, alors je reste immobile, bien au chaud dans cet environnement douillet. Et quand quelqu’un vient s’asseoir en face d’eux, il vient discrètement me mettre en marche. Je vibre doucement, comme il me l’a commandé et je la sens qui essaye, par de discrets mouvements du bassin, de me dégager de ma place sensible. Je dois titiller juste le bon endroit. Elle serre les lèvres – celles de sa bouche – et du regard le supplie d’arrêter. Mais on arrive, alors il stoppe mes vibrations. Repos, jusqu’à la prochaine fois…Bonjour à tout le monde bahis firmaları au boulot, elle fait la bise à tout l’étage. Il l’a suit de loin, me déclenchant à chaque fois que sa joue touche celle d’un ou une collègue, juste un petit coup, mais bien vigoureux. Se met à son écran et commence son travail de la journée. Elle pense être tranquille pour un petit moment : ils ne travaillent pas dans le même bureau, donc il ne sait pas ce qu’elle est en train de faire. Peut être qu’elle va m’enlever pour ne me remettre qu’au moment du retour. Comment pourrait-il savoir. Mais non, elle me garde, le jeu semble beaucoup lui plaire. Ah, un coup de téléphone, elle décroche : “Surprise !”, et je me met en marche, plein régime. “Aaahh !” : elle n’a pas pu s’empêcher de crier. Pour se ratt****r, fait mine que le téléphone lui échappe des mains et qu’elle le ratt**** de justesse. Ses collègues autour y ont cru, sauvée : “Oui oui, tout à fait !” lui répond-elle, et quand elle raccroche, je reçois l’ordre de m’arrêter. Plusieurs fois, au cours de la matinée, elle le voit qui passe dans le bureau, pour des raisons souvent frivoles : plus de trombones, montrer kaçak iddaa sa dernière cocotte en papier… et à chaque fois, il la gratifie d’un petit clin d’oeil tout en glissant sa main dans sa poche. Hop, courte session de vibrations intenses, qui cessent dès qu’il quitte le bureau.Orgasme en publicPause de midi, il vient la chercher pour le repas à la cantine : elle craignait ce moment, ou l’attendait ? Que va-t-il trouver encore ? Ils sont dans la file d’attente, devant les entrées. Il avait dit qu’il me mettrait en marche quand elle choisirait… “Tiens, je n’ai pas très faim aujourd’hui, je ne prendrais pas de dessert” : elle s’amuse à lui couper l’herbe sous le pied. “Tu as bien raison, mais choisi bien ton plat principal et fait attention à parler clairement quand tu le demanderas à la serveuse”. Ah, elle aurait mieux fait de ne pas le chercher : vient son tour, elle a choisi simple mais ma mise en route à pleine puissance lui font ouvrir la bouche, sans qu’elle puisse prononcer quoi que ce soit. Enfin, ça sort : “Purée !!!”. “Purée madame, voilà, avec du jus ?” “Oh oui, oui !”… Difficile de se retenir, et elle l’entend juste derrière elle kaçak bahis qui pouffe de rire. “Et pour la viande ? Nous avons…”. Elle ne peut plus parler, montre le poulet en serrant les lèvres pour éviter que des gémissements ne s’échappent. Je suis à plein régime, il ne m’arrête pas tant qu’elle n’a pas pris son plateau. Finalement, elle prendra aussi un dessert, rapidement, pendant que lui est occupé à commander son plat. Voilà, il tient son plateau des deux mains, plus de risque qu’il me déclenche… Il a pitié d’elle pendant le repas, et la laisse manger tranquille.Par contre, une fois la dernière bouchée de son dessert engloutie, je reçois l’ordre de me mettre en vibration douce, juste pour faire monter un peu l’excitation… “Mmmm, un régal …” J’aime ce genre de compliments. A moins qu’elle ne parle du dessert précédent. “Je te conseille d’arrêter sinon je risque de ne plus tenir et de te violer sur place”. Bon, pas de doute, il va se passer quelque chose… On quitte la cantine, direction la cafétéria… et non, personne dans le couloir, en passant devant les toilettes pour femmes, elle lui att**** le bras et l’entraîne à l’intérieur. Pas beaucoup de place : pas grave, on n’a surtout pas besoin de grands espaces pour ce qu’ils vont faire : alors on me retire, pour laisser la place disponible pour… Fin de ma journée de travail. Voilà, je suis un sextoy comblé !